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Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 21:16

Les sociétés modernes fondent leur conception de la sexualité sur la distinction des sexes biologiques et reconnaissent trois catégories de personnes : hétérosexuels, homosexuels et bisexuels.  Or ces notions n'ont pas cours dans la Rome antique, où tout est affaire de statut social et de classe d'âge. En gros, les citoyens mâles pénètrent et ne sont jamais pénétrés, tous les autres sont pénétrables, dans des conditions et des proportions variables selon qu'il s'agit de matrones respectables, de coquettes libérées, de prostitués et d'esclaves des deux sexes. A quoi s'ajoute le cas très particulier des empereurs libidineux, comme Tibère, Caligula ou Néron. Il s'ensuit des comportements et une morale bien différents des nôtres, au reste difficile à se représenter car, pour les romains, la sexualité relève de l'intime et doit rester cachée.

Ainsi en lieu et place des distinctions de genre qui nous semblent aujourd’hui fondamentales, nous retrouvons d’un côté les pénétrants, mâles et citoyens libres, et les pénétrés, femmes, jeunes garçons et esclaves féminins ou masculins. La débauche était surtout le fait de quelques tyrans et, au-delà des Néron, Tibère et autres Caligula, prêts à tout pour assouvir leurs bas instincts, les sociétés romaines qui se sont succédé, de la fondation de la République à la désintégration de l’Empire, ont plutôt fourni des modèles de comportements très stricts, dont certains ont été récupérés par le christianisme.

Le mariage destiné à la procréation, par exemple. Bien avant le clergé, les Romains avaient exclu le plaisir sexuel des relations conjugales, le repoussant du même coup aux aventures extraconjugales!

La société indo-européenne, dont procèdent les cultures européennes actuelles, est fondée sur un système de type patriarcal. Les liens de parenté dominants, qui permettent et transmettent les identifications, sont les liens de parenté masculine. La famille est soumise à l'autorité du père (pater, pita, Vater, etc.), de même que le système social (et le système religieux qui en constitue la projection) a pour clé de voûte une autorité et un pouvoir de type paternel. Le panthéon indo-européen donne la place principale au dieu-père : Zeus-Pater, Jupiter, Varuna, Odin, etc. Et cette conception patriarcale est encore confortée par la division tripartie qui forme la structure de base de l'" idéologie " indo-européenne, la fonction souveraine (politico-juridique) étant assimilée au père, la seconde l'étant aux fils (élément guerrier), la troisième à l'ensemble du peuple, aux femmes et aux enfants. C'est là un fait bien connu, que personne ne conteste, et qui constitue le système de notre culture.

Et pourtant, c'est aussi ce système patriarcal indo-européen, lorsqu'on le ramène à ce qu'il a de plus authentique, qui a donné à la femme une place privilégiée dans l'histoire. Contradiction ? Nullement. C'est parce qu'en Europe, les valeurs viriles et proprement célestes ou solaires forment la clé de voûte d'une société complète, que les femmes y ont été " admises " et honorées. C'est parce qu'une conception inégalitaire du monde est nécessairement fondée sur la reconnaissance de la diversité, que l'autre sexe a toujours été considéré en Europe comme un enrichissement - et non comme une malédiction, cause d'une faute originelle. C'est parce que la tradition religieuse et théologique indo-européenne repose sur l'honneur, et non sur le péché, que les choses de la chair ont pu être considérées à mi-chemin des excès constituant les antithèses relatives d'un même système : la débauche et le tabou - comme l'une des données naturelles, et donc fastes de la vie.

Tandis qu'en Assyrie, les femmes devaient se prostituer rituellement au moins une fois dans leur vie, les Grecs honoraient la belle Hélène, la tumultueuse Phèdre, la fidèle Pénélope, sans oublier Sappho la poétesse et même l'acariâtre Xanthippe et la courtisane Aspasie. Innombrables sont les déesses indo-européennes, comme innombrables sont les héroïnes dont l'histoire de l'Europe a retenu les noms, depuis les épopées homériques jusqu'aux sagas scandinaves.

Que ce soit à Sparte, à Athènes, à Rome, chez les Indo-Aryens, les Celtes ou les Germains, la femme est pleinement intégrée dans les structures socio-économiques, culturelles et politiques. Elle participe à tous les actes de la vie publique. Elle seconde son mari à la guerre. Elle exerce ses droits par des procédures de justice. Elle a sa place dans les jeux du stade, comme devant les autels où l'on honore les dieux. En Irlande, les femmes exercent des fonctions religieuses, politiques et même militaires. Chez les Cimbres et les Goths, il n'est pas rare qu'elles prennent part au combat.

Le plus souvent, filles et garçons se choisissent librement - en accord avec les lois de la cité et les antiques traditions. La veuve retourne dans sa famille et se remarie à son gré. L'union étant librement consentie, la fidélité mutuelle en forme la pierre angulaire. La liberté sexuelle s'exerce de façon responsable : avec pudeur et gravité. On admet une grande liberté de moeurs avant le mariage, car l'union doit se faire à bon escient. Mais ensuite, une fidélité totale est la règle. L'adultère peut être mis à mort. Il n'est pas tant coupable d'avoir commis l'acte sexuel avec un tiers (c'est là chose de peu d'importance) que d'avoir failli à la parole donnée - ce qui ne se rachète pas. (Il est beau le geste de la Gauloise Chininara jetant aux pieds de son mari la tête du centurion qui l'avait violée, parce que, rapporte Plutarque, elle ne pouvait concevoir d'avoir appartenu à deux hommes vivants)

 

 

 

 

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Mercredi 11 juin 3 11 /06 /Juin 18:10


Quelques lignes à méditer.........


La patience est l'aptitude de quelqu'un à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ou encore la qualité de persévérance.

La patience est, à travers le monde et les croyances une qualité essentielle requise pour celui qui aspire à la sagesse. Comme la méditation la patience s'acquiert et s'exerce ; elle demande un effort de concentration et de maîtrise de soi qui est opposé en général à l'agitation naturelle, à l'impatience innée.

Si la patience quotidienne est parfois « récompensée » par un bien – par exemple l'attente sage du petit enfant auquel on offre un cadeau en récompense – la patience religieuse est une clé pour l'aboutissement de soi et n'a pas exactement la même valeur morale. Le sens commun de la patience correspond à une réalité qui est à distinguer de la patience spirituelle, élément essentiel de nombres de croyances.

"La patience est l'art d'espérer". 
                                                     Vauven
argues

"Si ce n'est aujourd'hui , ce sera demain: rappelons nous que la patience est le pilier de la sagesse"
                                                        frédéric Mistral


Patience est un arbre; amères sont les racines mais les fruits sont très doux. Au bout de la patience, il y'a le ciel........

                                                              proverbe saharien..





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Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 21:02
encore des extraits de Gor bonne lecture ....quoique vous devriez les lire par vous même en totalité
...

Les Goréens ne croient pas, incidemment, que l’être humain soit une fonction des variables indépendantes de son environnement

Dans la pensée Goréenne, les hommes et les femmes sont des animaux avec des qualités génétiques modelées pas des milliers de générations de sélection naturelle et sexuelle

Les Goréens croient  qu’il est dans la nature de l’homme de posséder, dans la nature de la femme d’être possédée.

Les Goréens dans leur simplicité, considèrent catégoriquement que l’homme est naturellement libre alors que la femme est catégoriquement esclave. La femme comme l’homme est le produit de l’évolution et, comme l’homme, est un produit complexe, non seulement de la sélection naturelle, mais aussi de la sélection sexuelle. La sélection naturelle suggère que la femme qui souhaitait appartenir à un homme, avoir des enfants, s’occuper d’eux, les aimer, aurait un avantage, à la longue, du point de vue de la survie, sur la femme qui ne s’intéressait pas aux hommes, ne voulait pas d’enfants. L’homme tend à choisir statistiquement une femme intelligente, aimante et belle. Ainsi les hommes ont effectivement sélectionnés un type de femme. De même naturellement, dans la mesure où elles ont pu choisir, les femmes ont sélectionné les hommes intelligents, énergiques et forts. Rares sont les femmes qui malgré la propagande, désirent des hommes faibles et féminins. Ces hommes, de toute manière, ne sont pas ceux de leurs phantasmes sexuels.

 

Il se tourna vers Tina. Un de ses flancs était rouge dans la lumière du grand feu.

« Sais tu plaire aux hommes ? » demanda-t-il

-Oui Maître », répondit la séduisante jeune femme

- Quel est le devoir d’une esclave ? » S’enquit il

 

 

- L’obéissance absolue », répondit elle effrayée

- Qu’est ce que tu es ? » Demanda t il  

- Une esclave », dit elle

- Quel est ton devoir ? » Demanda t il encore

- L’obéissance absolue ! » Cria t elle

- Protégez moi », sanglota t elle

- Notre protection a un prix », fit il remarquer

 

- Couche toi sur le sable devant moi esclave ! » Ordonna t il

Il dégrafa la ceinture de son épée et la laissai tomber à ses pieds.

Tina se coucha sur le sable devant lui, un genou levé, la tête sur le coté

-          Nous allons d’abord tous t’essayer », dit il

-          Si un seul d’entre nous n’est pas satisfait nous te laisserons aux Sleens »

-          L’esclave comprend, Maître » dit elle

-          Comment te comporteras tu ? »  Demanda t il

-          Superbement Maître » souffla t elle

Il posa ses lèvres sur les siennes et je vis ses bras apparemment passionnés lui entourer le cou

 

Tina était à présent à genoux près du chef des hommes de Tyros. Elle tenait sa jambe dans ses bras, respirant profondément, ses cheveux noirs étalés sur ses épaules, la joue contre sa cuisse. Elle le regardait

« Tina t a-t-elle plu ? » Demanda t elle

-Comment l’avez-vous trouvée ? » Demanda le chef à ses hommes

Il y eut des cris de plaisir. A nouveau Tina adressa un regard pitoyable au chef

« Nous allons t’emmener avec nous, esclave » décida le chef

Les yeux de Tina brillèrent

-          Merci Maître » souffla t elle

-          - Tu seras très occupée » la prévint il »Tu serviras notre plaisir quand nous en aurons envie et quand nous n’en aurons pas envie, tu prépareras la nourriture des esclaves et tu la leur serviras »

-          « Très bien Maître » Dit elle

-« Tu nous as servis avec beaucoup de zèle » releva t il

-          Bien sûr Maître, fit elle

Les deux jeunes femmes gisaient à ses pieds ; Toutes deux nues et enchaînées, marcheraient à l’étrier de son Tharlarion pendant son triomphe, à Ar. Par la suite, toutes deux vêtues de soies et des clochettes à la cheville, pieds nus, maquillées, le serviraient dans son Jardin de Plaisir. Dansant pour lui, lui servant du vin, servant son plaisir, peut être ensembles, elles lui procureraient de nouvelles joies.

 

 

 

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Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 11:34

 

Dans  une relation Maître esclave, est'il possible de faire intervenir une tierce personne ?

Oui, bien entendu, comme dans toute relation de couple classique mais à la différence qu'il est essentiel que cette tierce personne connaisse et accepte la relation du couple;

Bien que l'échangisme soit courant dans les relations D/s, celui ci n n'est en aucun cas requis et s'il a lieu, il nécessite l'accord de tous les partenaires, c'est évident.

Dans notre couple, le choix se porte d'avantage vers une relation de triolisme avec une soumise ou un soumis.qui partagerait notre mode de vie et appliquerait  notre philosophie goréenne.

La soumise nous semble intéressante étant donné mon attirance pour les femmes,;mais j'aimerais aussi partager un soumis avec mon Maître

Bien entendu, cela ne veut pas dire que mon Maître aurait une autre esclave à éduquer seul ( il a déjà assez de travail avec moi et je l'aiderai dans cette tâche)

Je suis pour le partage, le don de soi vers un autre partenaire (rencontres amicales, complices , sexuelles et soumission,domination) mais je ne désire pas qu'une tierce personne prenne ma place de compagne et épouse. Aussi chacune à sa place même si le réseau peut être étendus. je resterai dans les faits et dans son coeur unique à n'en pas douter.

"L'esclave cherche son Maître, le Maître cherche son esclave. Quand ils se rencontrent, ils le sentent. Elle s'agenouille devant lui et accepte de lui appartenir"  GOR

Cependant en tant que kajira de Maître jim, je me dois d' être moins possessive,

Baignée d'Amour, je suis confiante en lui, en moi et en notre couple

en tant que kajira, mon devoir est d'être sensibilisée aux désirs de mon maître et d'y répondre . Dans ce but, je mettrais tout en oeuvre pour que notre future soumise puisse lui procurer du plaisir physique et spirituel

j'assisterai mon Maître dans son éducation, toujours sous son contrôle évidemment.

Et la soumise dant tout cela, me direz vous ?

je crois sincèrement qu'elle n'y trouvera peut être pas son bonheur total, car une soumise recherche "SON MAITRE", mais que nous pouvons l'accompagner dans sa démarche et lui procurer beaucoup de plaisir en notre compagnie.


C'était mon point de vue sur l'intégration du triolisme dans notre relation Maître/esclave


 






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Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 11:18

 

 

 

Quelle que soit l'équation choisie (FHH, FFH, FFF, HHH) l'envie de faire l'amour à trois ne constitue pas une anomalie sexuelle, mais seulement un besoin de changement et d'innovation.

Cette situation, comme tout autre mode de relation sexuelle, demande l'accord tacite des trois personnes en présence, elles doivent être majeures, consentantes et accepter le concept du triolisme : se consacrer simultanément aux deux autres personnes en présence.

Les plaisirs ressentis durant cet exercice sont décuplés par l'ajout d'un partenaire supplémentaire, les connaissances du couple étant limité à leur relations courantes, celles-ci se trouvent enrichies des connaissances d'une tierce personne.

L'amour à trois a l'avantage de ne pas être aussi difficile à aborder que l'amour en groupe, où dans ce cas, les participants s'échangent et se mélangent sans qu'il n'y ai obligatoirement de consentement ou d'atomes crochus entre les partenaires, cette situation implique l'accord complet de ce concept par les amateurs d'amour en groupe sans choix préalable. Sans compter le côté bestial d'une partouze, qui ne laisse de place qu'à l'acte sexuel et rien d'autre.

L'amour à trois est plus simple, voire plus romantique, la troisième personne est acceptée par le couple : une connaissance ou une rencontre et les jeux de l'amour sont possibles. Généralement la complicité existe déjà entre les initiateurs qui vont partager leurs expériences, la troisième personne amènera ses jeux amoureux et sa propre expérience.

Une relation à trois peut également être motivée par le désir de voyeurisme, dans ce cas il n'y a pas ou rarement de relation simultanée entre les participants : pendant que deux personnes font l'amour, la troisième regarde la scène et reste "passive" elle n'intervient en aucun cas dans les ébats.

Le voyeurisme fait partie intégrante du triolisme : voir son conjoint faire l'amour avec un autre partenaire fait partie de cette pratique, l'important étant de savoir s'il s'agit du véritable objectif, ou s'il s'agit d'un élément supplémentaire rendant l'amour à trois encore plus excitant.

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Samedi 31 mai 6 31 /05 /Mai 16:44

Nous adorons tous deux Loreena Mc KENNITT aussi c'est sur un de ses titres (gates of Istanbul) que niagara doit préparer sa chorégraphie pour mon retour et mon plaisir

c'est avec plaisir que je vous invite à rencontrer cette musique celtique portée par la voix ensorcelante de Loreena

l'adresse de son site trés bien fait

www.quinlanroad.com.

vous y trouverez des clips vidéos permettant d'entendre sa musique et notamment le dernier album trés oriental (thématique sur les croisades) : An ancien muse


The gates of Istanbul

Music and lyric by Loreena McKennitt

See there, past that far-off hill
A tower held in the sky
Hear there, in that dark blue night
The music calling us home

See there, in that far-off field
Flowers turned to the sky
Feel there, in that dark blue night
The music calling us home

Stars may always guide our way,
From desert sands where winds blow harsh and long
But here’s where our hearts will pray
And all our loves will slumber with a song

Stars may always guide our way,
From desert sands where the winds blow harsh and long
But here’s where our hearts will pray
And all our loves will slumber with a song

So now, if our hearts be true
And like a pool of truth reflect the sun
We will find right honour there
And keep us safe and lead us from all harm

Then come love, let us dance all night
Until birds they waken at the dawn
Then come love, let us sing all night
And all our loves will slumber with a song

Then come love, let us dance all night
Until birds they waken at the dawn
Then come love, let us sing all night
And all our loves will slumber with a song

 

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Samedi 31 mai 6 31 /05 /Mai 14:51











Asservie, façonnée par vos doigts, dréssée , je renais kajira
Infiniment ,   je puiserais mon énergie dans le plaisir de ma servitude
Marquée à jamais de votre blason, je vous suis liée ici bas et au delà

Ethérés, ces sentiments dans mes veines coulent, plus de parjure
Respectueusement , Maître, je vous prie, prenez soin de moi


 


 


 

 

 








Satisfaire votre volonté est mon crédo désormais
Etre  là tout simplement , joyeuse captive , libérée de mes chaines
Remplit mon cœur d’une telle joie, n’arrêtez pas Maître s’il vous plait
Vivifiant suplice que d'espérer, attendre un ordre comme un coup de gong
Infernal tourment,  torture de l’ âme gourmande d’abandon
Réclame votre autorité ,vos exigences , votre sévérité


Obéissante, disci
plinée, domptée, je n’ai plus d’ autre vocation que de vous    plaire
Bondage chaines, entraves , mémoire de mon statut de prisonnière
Essence profonde de ma vie de femme, votre kajira je resterais
Inclinée devant vous, je me remets entre vos mains
Rétablissant au-delà de la modernité ma vrai nature de femme asservie

 

 

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Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 21:17

Extraits de la « captive de Gor » lisez… tout y est…

 

Je lui servis du vin

J’étais la seule femme de ses compartiments. Je comprenais bien ce que cela signifiait. Il avait choisi la perfection d’un homme, maître total, et d’une femme, esclave complète. Cela s’appelle le lien parfait. Cela convient à certains hommes et pas à d’autres. Il faut que l’homme ait trouvé son esclave parfaite et la femme son maître parfait.

Sur un geste, je m’allongeai sur les fourrures d’amour, au pied de sa  couche.

-          Je t’appartiens, lui dis je, prends moi Maître

-          J’ai de l’affection pour toi, dit il

-          Sois fort avec moi Maître, soufflai je. Je ne veux pas te défier. Je ne veux pas m’opposer à toi. Je veux  te servir et je veux t’aimer. Je veux tout te donner sans rien garder

Il me considéra

-Tu ne comprends donc pas Maître ? Demandai je, Si j’avais le choix, je déciderai d’être ton esclave

J’avais compris qu’une femme doit choisir entre la liberté et l’amour. Ces deux vertus sont inestimables. Chacun peut choisir ce qui lui convient

-          Mais je ne te donne pas le choix, fit il remarquer

-          Bien sûr Maître, répondis je, tu es goréen

Il regarda les fourrures

-          Je te vendrai peut être, dit il

-          Tu peux faire ce que tu veux Maître, répondis je, je savais que simple asservie, j’étais totalement à sa merci

-Crois tu que sous prétexte que j’ai de l’affection pour toi, je ne serais pas fort avec toi ?

-Non Maître, dis je

Il pris le lourd collier métallique et me le mit au cou, m’attachant sur les fourrures au pied de sa couche

Puis il se tourna

-Je vois que tu seras fort avec moi Maître, relevai je ; je ne demande qu’à t’aimer et te servir

-Ainsi tu choisirais d’être esclave ? demanda t il

-Oui maître, répondis je

Puis je me tortillai dans ses bras et il me prit, j’explosai dans les extases les plus profondes qu’une femme puisse connaître, celles de l’orgasme de l’esclave, que seules peuvent connaître les femmes possédées

-          Comment pourrais je t’aimer autant, dit il, si je ne te possédais pas complètement, si tu ne m’appartenais pas entièrement ?

Il me prit par les cheveux et me jeta la tête en bas sur les fourrures

-Un homme ne peut aimer qu’une femme, déclara t il, qui est véritablement sienne, qui lui appartient. Autrement  ce n’est qu’un Contrat

-Une femme ne peut aimer qu’un homme à qui elle appartient vraiment

J’ouvris les yeux

-L’esclave est elle  parfois autorisée à dire ce qu’elle pense ?

-Peut être, de temps en temps, répondit il, à condition qu’elle le fasse à genoux et à mes pieds

-Tu es un monstre Maître, minaudai je

Je réagis frissonnant sous les coups de sa virilité puis m’abandonnai, satisfaite, à la douce brutalité qu’il m’imposait

Il avait de nombreuses manières de me prendre et je devais me soumettre à toutes, absolument

-Tu as de grands désirs Maître, dis je

- Je n’ai honte ni de ma santé, ni de ma vitalité, répondit il, et toi cela te fait il honte ?

- Plus maintenant Maître, répondis je

J’étais devenue libre, malgré le collier que je portais. Bizarrement, avec le collier, j’étais libre. Sans collier, j’étais véritablement une esclave prisonnière d’une culture pathologique, esthétique, mécaniste et viciée

-Je n’aurais pas imaginé qu’un homme puisse me désirer tellement, dis je, qu’il veuille me garder comme esclave

-Tu n’imaginais pas que tu rencontrerais un homme capable de satisfaire tes désirs les plus profonds, expliqua t il. Ces désirs cachés, secret, à peine perçus, dont tu n’avais pas conscience

-Tu es un rêve secret, que j’osais à peine rêver, devenu réalité, Maître, dis je

-Et toi pour moi, Esclave, répondit il

-Bien que tu ai de l’affection, me garderas tu vraiment comme esclave ?

-Oui Esclave, dit il

-Soumise à la punition si je suis désagréable ? Demandai je

-Soumise à la discipline selon mon désir, que tu sois désagréable ou non, affirma t il

-Je t’aime Maître, dis je

-Tais toi esclave ! dit il irrité

-Oui Maître, répondis je

Puis il me toucha avec douceur et tendresse, et je me serrai contre lui, mais je ne parlais pas, perdue dans sa caresse, car, esclave, il m’avait été interdit de parler. Il me fit doucement l’amour, mais je savais qu’il pouvait devenir brutal d’un instant à l’autre. Comme j’étais joyeuse ! Il me dominait. Je lui étais assujettie. Je lui appartenais, totalement, sans restriction .Il m’étais impossible d’exprimer ce que je ressentais. Peut être était ce pour cette raison qu’il m’avait imposé le silence, afin que je n’essaie pas de parler et me contente de ressentir ce qui ne peut être exprimé dans aucune langue. De sorte que je ne tentai pas de parler, et me consacrai simplement aux tâches de l’amour

 

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Mercredi 28 mai 3 28 /05 /Mai 18:40
quelques morceaux choisis du "Banni de Gor"

"En théorie, sinon en pratique, quand la jeune fille se voit marquée comme un animal , voit sa jolie peau marquée par le fer d'un Maître, elle ne peut en quelque sorte manquer, au plus profond d'elle même, de se considèrer comme une chose qui est possèdée. Elle est supposée se dire en comprenant sa terrible et complète portée: "je suis sienne".....

Je m'avisai que la chaîne n'est pas l'idéal pour une jeune femme pleine de vie se sachant par sa marque destinée à l'amour, que chacune d'elles doit espèrer trouver un homme qui tienne assez à elle pour l'acheter, que chacune doit être anxieuse de suivre un homme dans sa demeure, de porter son collier et ses chaînes, d'apprendre sa force et  son coeur afin qu'il lui enseigne les délices de la soumission

Lorsque je t'ai vu pour la première fois, je te connaissais déjà par un millier de rêves interdits. Dans ces rêves, je siègeais orgueilleusement au sein de mon Palais, entourée de mon Conseil et de mes guerriers lorsque, brisant le toit comme du verre, un grand tarn descendait, chevauché par un guerrier casqué. Il dispersait mon Conseil et battait mes armées, s'emparait de moi, me dévêtait, m'attachait nue en travers de sa selle puis m'emportait dans sa cité. Et moi qui avais été la fière Tatrix de Tharna, je portais sa marque et son collier. Dans cette cité, continua t elle les yeux brillants, il mettait des clochettes à mes chevilles et m'habillait de soies de danse. Je n'avais plus le choix, tu comprends. Je devais faire ce qu'il voulait. Et quand j'étais incapable de danser plus longtemps, il me saisissait dans ses bras et , comme un animal, me forçait à satisfaire sa jouissance.
Dans ses bras, j'apprenais tout  ce que Tharna ne pouvait pas m'enseigner. Dans ses bras, j'apprenais à partager la splendeur ardente de sa passion. Dans ses bras, je prenais conscience des montagnes, des fleurs, du cri des tarns sauvages, du contact des griffes de larl. Pour la première fois de ma vie mes sens étaient éveillés; pour la première fois je sentais bouger mes vétements sur mon corps; pour la première fois, je remarquais comment un oeil s'ouvre et ce qu'est vraiment le contact d'une main. Et je sus alors que je l'aimais...

Les rites de soumission, tels qu'on les pratiquait à Tharna, consistait à dévêtir et à attacher la captive avec des cordes jaunes et à la placer sur un tapis écarlate; le jaune de la corde était un rappel symbolique des talenders, une fleur souvent associée à la beauté et à l'amour féminins, l'écarlate du tapis étant un rappel symbolique du sang et peut être de la passion. Celui qui avait capturé la jeune femme mettait son épée sur sa poitrine et prononçait la formule sacramentelle de l'asservissement. C'étaient les derniers mots qu'elle entendait comme femme libre
Pleure, libre jeune fille
Souviens toi de ta fierté et pleure
Souviens toi de ton rire et pleure
Rappelle toi que tu étais mon ennemi et pleure
Maintenant, tu es ma captive impuissante
Rappelle toi que tu t'es dressée contre moi
Maintenant tu es étendue à mes pieds
Je t'ai liée avec des cordes jaunes
Je t'ai placée sur le tapis écarlate
Ainsi suivant les lois de Tharna je te proclame mienne
Rappelle toi que tu étais libre
Sache que tu es à présent mon esclave
Pleure jeune esclave

Aucun homme qui a vu une femme en Soies de plaisir, qui l'a regardée danser,  qui a entendu le tintement des clochettes autour d'une cheville, ou contemplé une chevelure de femme qui, déliée, tombe jusqu'à sa taille, ne peut vivre longtemps sans la possession d'une aussi déliceuse créature






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Mardi 27 mai 2 27 /05 /Mai 10:36

Un petit pas en arrière pour un grand bon en avant

 

Oui, je me suis arrêtée quelques heures  dans mon éducation  de Kajira
je reconnais que la peur s’est emparée de moi .
Peur de ne pas arriver à satisfaire mon Maître,
Peur tout à coup de la signification du mot « kajira »

 

J e ne considère pas l’absence de mon Maître comme négative, bien au contraire, j’ai beaucoup de temps disponible pour réfléchir et à sa demande je médite tous les soirs sur ma condition , sur mon statut de kajira
Je ne m’étonne donc pas de m’être arrètée un instant dans ma vie de Kajira .

 
Je suis une femme active , dont la tête fonctionne bien ( bien que j’ai parfois des trous de mémoire  lol)
Et m’abandonner à mon Maître sans réfléchir c’est idéal bien sûr mais demande un travail énorme sur moi même

Oui c’est évident que je m’abandonne dans ma sexualité, quand je lui offre mon cul , quand je suis punie, ou quand j’ouvre ma bouche pour recevoir tout son être. Tout cela ne me semble pas difficile ;

 

Mais abandonner la femme que j’ai mis tant d’années à construire, une femme autonome qui décide ce qu’elle fait de sa vie, qui elle rencontre, qui choisi les personnes à qui elle parle, ….. cela ne se fait pas en un jour.

Mettre sa fierté au placard, abandonner la femme libre, et devenir l’esclave et l’objet de son Maître.
Accepter qu’il décide tout pour vous, accepter les remarques,c’est le véritable abandon.

C’est le don de soi à l’autre

Il m’arrive d’être confrontée dans cette dualité au travers de faits qui vous paraitront peut etre anodins mais qui peuvent susciter en moi une rebellion.

 

Un exemple récent: mon Maître ne désire pas que je parle aux hommes sans son autorisation

Au début, cela me semblait tellement injuste, et puis finalement c’est devenu une évidence.

J’ai besoin d’un temps d’adaptation, c’est toute ma vie de femme qui est bousculée., tous les principes inculqués depuis mon enfance.

Cela ne peut se faire que progressivement, je ne suis pas née "esclave"

Même si au fond de moi, c'est ce que je désires, être la kajira de Maître Jim, le servir , lui appartenir complètement, lui offrir mon amour, mon obéissance et ma dévotion.

Quand alors , je suis en phase d’acceptation, je ressens en moi un immense bonheur
Je me sens meilleure Kajira,

Je vais poursuivre mon chemin Maître ,tenez ma laisse fermement !
Je sais que j’ai fait un petit pas en arrière mais un grand bon en avant

Je vous aime

niagara

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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