Mardi 30 septembre 2 30 /09 /Sep 17:04
Après deux mois d'absence  dus au déménagement, nous sommes enfin installés et Jim m'a demandé aujourdhui de reprendre le blog.
Tous ces changements ont fait que je suis un peu décalée et que j'ai du mal à reprendre ma vie d'esclave.
Néanmoins, nous passons souvent quelques heures pendant lesquelles je tiens ma place parfaitement .
Ponctuellement , je reçois la cravache en correction pour tous les moments de rebellion.
Par exemple, quand je me suis faite jouir sans autorisation ou que je m'énerve sur mon Maître..
en dehors de la cravache , je suis interdite de jouissance pour varier les punitions. Cela ne m'arrange pas trop , je dirais même que c'est ce que je redoute le plus comme punition..
Voilà, je n'ai pas grand chose à exprimer pour le moment.


  à bientôt
Par niagara
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Jeudi 24 juillet 4 24 /07 /Juil 09:46
qui pardonnent, fusionnent et qui donnent
leur âme dans les bras d'une femme
où sont les hommes
qui laissent éclater leurs faiblesses
au grand jour pour vivre un grand amour
où sont les hommes
qui osent proposent un avenir meilleur
un remède au malheur

où sont les hommes
qui se battent et combattent montent au front
de leurs rêves et vous emmènent ailleurs
où sont les hommes
qui disent haut et fort que l'amour
n'est pas mort et qui espèrent encore
où sont les hommes
qui pour rester debout effacent
leur passé rongé par le remord

Où sont les hommes
qui pleurent dont les larmes
demeurent le rempart à l'ultime souffrance
où sont les hommes
qui savent faire peau neuve et donner
à leur vie l'espoir d'une autre chance
où sont les hommes
qui se livrent sans pudeur et décrivent
sans peur ce qu'ils ont dans le coeur

où sont les hommes
qui plongent, s'allongent sur le corps
d'une femme pour annihiler sa peur
où sont les hommes
qui marchent, qui font taire les lâches
et ne mâchent pas leurs mots jamais
où sont les hommes
qui laissent entrevoir ce qu'ils ont
de plus noir et livrent leurs secrets

où sont les hommes
qui tombent à genoux et qui deviennent
fous pour l'amour d'une femme
où sont les hommes
qui continuent de croire en celui
que partout tous les autres condamnent
où sont les hommes
qui lèvent leurs yeux et leurs mains
vers le ciel implorant le pardon
où sont les hommes
qui, quand ils parlent à Dieu, sont prêts
à écouter un jour ce qu'il répond

                                                                                           Léa IVANNE  (chanson de patricia KAAS)


Par niagara - Publié dans : lettres - Communauté : le monde de GOR
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Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 14:56
Les fondamentaux de l'éducation applicable à une Kajira sont liés à la notion de conditionnement opèrant ( ou apprentissage skinnérien) qui se différencie du dressage pavlovien en ce que l'on parle de comportements à adopter plus que de réflexe à avoir. La base  reste néanmoins d'induire,  grâce à un stimuli  ad hoc, une réponse qui n'aurait pas eu lieu naturellement. Ceci par un renforcement positif lié à une récompense ou négatif lié à une punition. Le levier le plus puissant étant le renforcement positif qui permet de faire aller la kajira vers ce que l'on attend d'elle plutôt que de l'éloigner de ce que l'on ne veut plus voir en elle.
Pour ce renforcement positif, le contrôle strict de la sexualité, de l'orgasme certes, mais aussi de la simple possibilité de pouvoir disposer de son corps pour le stimuler, est le levier le plus puissant.  Les caresses et stimulations sexuelles ne pouvant plus venir que du Maître et étant associées à la notion de récompense. Ainsi  l'excitation liée au simple fait de servir et être mise à sa place par le Maître ne p ourra s'évacuer, se résorber que dans une jouissance corrélée à un service satifaisant. Le fait de servir sera ainsi renforcé par la jouissance associée créant un cercle vicieux pour la Kajira et vertueux pour son Maître qui verra celle-ci réclamer de pouvoir servir pour pouvoir jouir tout en étant condamnée à une constante qualité de service. En actionnant ce levier, la notion de punition passe au second plan ainsi que la notion de SM qui est supplantée par la relation D/s qui croît proportionnellement à cette regression. Ainsi votre kajira sera certes dépendante mais sans jamais verser dans le masochisme et son engrenage addictif amené par la sécrétion d'endorphines. Ainsi la relation sera plus cérébrale (le plaisir de servir, d'être prise) et moins physique. Un conditionnement  s'opèrant donc sur la répétition et les rituels plus que sur des séances liées à des sensations fortes. Tout étant question d'adaptation : assimilation / plier mais aussi accomodation / se plier. Attention à bien respecter votre kajira car entre le poison et le remède, tout est une question de dosage. L'empathie est essentielle et indissociable de mon point de vue de la fermeté. Souvent éduquer une kajira revient à guider un éléphant dans un magasin de
 po rcelaine alors prudence car souvent le plus précieux est aussi le plus fragile. Ce qui est indestructible à l'état solide peut devenir  insaisissable à l'état liquide voire explosif à l'état gazeux aussi réglez bien vos thermostats et surveillez vos soupapes de sécurité. De même que vous ne laissez, par exemple, jamais du lait seul sur le feu, vous ne devez laissez seule vote kajira entre les pattes d'un autre. Enfin pensez que plus le bambou est grand plus il peut plier bas, il vous faudra entretenir votre propre souplesse comportementale, comprendre les ressorts psycho affectifs à manipuler pour  faire levier et accroître la souplesse de votre bambou (kajira) pour in fine la faire plier à votre convenance afin de lui donner la forme souhaitée.

Pour aller sur la lune il faut partir de la lune
Par niagara - Publié dans : lettres - Communauté : le monde de GOR
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Samedi 28 juin 6 28 /06 /Juin 16:57

 

 Porter les anneaux de mon Maître représente pour moi un acte important.

Ces anneaux sont le symbole, d’une part d’un aboutissement, d’autre part d’un commencement mais également d’un renoncement

Symbole de l’aboutissement
C’est l’aboutissement d’une  recherche depuis des années, la recherche de celui à qui j’allais appartenir définitivement, la recherche du Maître qui serait complémentaire, qui comprendrait qui je suis au fond de mon être

C’est l’aboutissement aussi de la recherche d’un homme avec qui j’allais m’épanouir dans la vie quotidienne , celui que j’accompagnerais sur la long ue route…..

 
Symbole du commencement
Commencement de ma véritable vie d’esclave.
Quotidien au service de mon Maître, service domestique et sexuel.
Disponibilité permanente pour lui, écoute de ses attentes, respect de son statut

 Commencement de ma véritable vie de femme
Compagne attentive à l’écoute des besoins de l’homme avec qui je vis
Femme désirable et fidèle,  Femme aimante,accueillante maîtresse de maison

,
Symbole de renoncement
Renoncement à la liberté, devoir d’obéissance, car tout est soumis à l’approbation ou à l’autorisation de mon maître
Renoncement à  mon corps qui appartient désormais à mon Maître, mes anneaux seront cadenassés
Renoncement à la frivolité,
Renoncement  au plaisir égoiste, car tout le plaisir de mon Maître passe avant le mien .

 

Bientôt
mes grandes lèvres seront annelèes

Par niagara - Publié dans : récits vécus - Communauté : BDSM
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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 10:27
Vivre une relation D/s à temps plein semble utopiste; et ce à juste raison si nous projettons un archétype sur cette relation, si nous l'enfermons dans le carcan de nos projections. Il faut prendre les choses comme elles se présentent; souvent en restant ouvert à ce qui advient et en inventant  patiemment sa relation au jour le jour. Les personnes pratiquant  une relation Maître / Kajira ne peuvent à l'extérieur être distingués de Mr et Mme "tout le monde"; les contraintes de la vie sont les mêmes  pour tous et il faut bien y faire face d'une manière ou d'une autre.
Ce que l'on peut dire d'un couple qui réussit sa relation D/s, c'est qu'il a su développer une remarquable capacité à communiquer de manière subtile, une remarquable fluidité dans sa capacité à se mettre dans l'état d'esprit adéquat et à en sortir rapidement selon les circonstances. C'est le switch entre une relation en prise avec la vie réelle, professionnelle par exemple, et le passage à une hiérarchie Maître / Kajira dans laquelle le dominant exerce un contrôle absolu envers sa Kajira totalement dévouée à son plaisir. Cela est intuitif, c'est à dire qu'on le fait de manière juste sans être pour autant capable de dire pourquoi on le fait, formé de mille signes latents, de postures fines reliés à des rituels établis et rodés.
C'est je crois l'apprentissage de la lecture de ces signaux  en réponse aux besoins changeants et aux circonstances qui nourrit ou anémie la relation.
Cela doit s'inscrire dans la nature porfonde de la kajira qui à travers ces rôles trés définis se trouve dans un cocon protecteur. Savoir clairement qui doit prendre les décisions et qui porte la culotte sans ambiguité rassure chacun des deux cotés de la barrière.
Comment se comporter avec sa kajira ?
d'abord s'efforcer d'amèliorer sa qualité de vie, son hygiène de vie
ensuite lui demander d'assurer un service tel que la domesticité du Maître, du lieu de vie, un entretien minutieux de son corps
Enfin prendre des postures.
La maître doit exercer son pouvoir même durant son absence physique par tout rituel ou symbole de servitude qui lui parlera; comme par exemple
pour la kajira être cadenassée , se rendre aux toilettes à 10 h précise et se masturber 10 mn sans pouvoir jouir. Le Maître attends de sa kajira qu'elle soit capabe d'anticiper ses demandes, et qu'avant tout elle prenne plaisir à servir
Peut être que dans le fantasme de la kajira  seule la volonté du Maître importe, ses attentes étant sans intéret . Mais dans la réalité, la kajira dont les besoins élémentaires ne sont pas satisfaits finira par se rebeller et à contrario un Maître qui controle une esclave insatisfaite trouvera la relation navrante. L'adéquation entre le style du Maître et les attentes de l'esclave est donc essentielle, l'alchimie parfaite en somme. Or nous savons que, comme pour la recherche du Graal, le chemin importe plus que le but.
Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 11:06

Extrait des « esclaves de Gor »

 

Où l’esclave cherche toujours l’amour de son Maître et réciproquement car, même si sur Gor les esclaves sont contraintes, on s’aperçoit que finalement in fine l’amour triomphe. Dans un monde à priori coercitif et barbare se tiennent des pans d’humanité qui croissent et avancent. En définitive n’est ce pas cela la subversion qui va nous extraire de notre condition : sublimer nos chaînes (celles de nos pulsions) en y trouvant l’Amour ?

Trouver la puissance dans l’impuissance, le don dans la contrainte, l’abandon dans la possession, la liberté dans la dépossession, comme les mystiques qui trouve la béatitude de l’Eveil dans le dénuement et le renoncement à la tyrannie de leur volonté.


Si O tombe dans le BDSM par amour pour finalement perdre  son amant et se trouver elle même ; à contrario, dans Gor on assume (parfois de gré mais plus souvent de force) son statut d'esclave pour y rencontrer l'amour  du Maître. Amour qui va redonner à la Kajira une fierté qui la met en paix avec ce qu'elle est au fond d'elle. Ainsi elle ne se perd nullement mais se trouve dans son amour du Maître

Et le Maître dans cela ?  Il n’est que le vecteur bienheureux mais paradoxalement  soumis tant il est vrai que dialectiquement on est toujours esclave de ses esclaves

 

 

« Je baissais la tête

- Esclave, dit Verna

-Oui Maîtresse, fis je

- On raconte que tu n’es pas comme les autres femmes, que tu n’as pas leurs faiblesses

- Je suis comme je suis et je n’y puis rien, répondis je à Verna, baissant la tête avec déférence

Rask de Tréve sourit

-          Fais là enchaîner sous les lunes de Gor, avait dit Verna

Je la regardai avec fureur

Rask de Tréve avait ri

-Gardien enchaîne là, ordonna t il, sous les lunes de Gor

- viens esclave, dit le gardien

Je le suivis, Je regrettais qu’il me prit mes vêtements mais lorsqu’une esclave est enchaînée sous les lunes de Gor, elle doit être nue

Ce qu’il m’avait fait me rendait furieuse. Cruellement, impitoyablement, injustement, il m’   avait fait découvrir des univers de sensations absolument fantastique, dont je n’avais pas cru mon corps capable. Ses caresses, celle d’un Maître, avaient pris possession de mon corps, totalement, et j’avais été submergé par les sensations m’accrochant à lui, craignant de mourir de plaisir entre ses bras. Riez si vous voulez mais je ne pouvais que l’appeler Maître. N’ironisez pas ne vous moquez pas avant d’avoir vous-même un jour porté un collier ,avant d’avoir, vous-même, été l’esclave et connu les caresses d’un homme tel que Rask de Tréve.

Pourquoi ne venait il pas me chercher ?

Lui avais je déplu ? Je pouvais faire mieux

Je poussais un cri de désespoir

-          Fais moi chercher Rask de Tréve ! Gémis je, fais moi chercher ! (je roulai sur le ventre) je veux te servir, sanglotai je, mordant l’herbe »

Je regardai les lunes les yeux pleins de larmes

Sur la colline couverte d’herbe j’étais enchaînée seule

Je hurlai et me levai d’un bond, les bras tendus vers les lunes. Je restai immobile, impuissante sous elles. Enchaînée, nue, les bras tendus vers elles

Puis, je me mis à danser la folie de mon désir, tournoyant sous les lunes de Gor, essayant de les saisir, tournant sur moi-même, tapant des pieds, virevoltant, criant.

Puis lorsqu’il me fût impossible de danser, je m’abattis sur l’herbe, me tordant, l’arrachant, gémissant.

Et tandis que je hoquetais et pleurais, je m’aperçus, soudain, que cachée dans l’ombre, Verna, la panthère, me regardait

-          Il me semble que ton corps bouge comme celui d’une Kajira ; dit Verna

-          Je suis une Kajira, soufflai je Maîtresse

-          Tu n’es pas comme les autres femmes ; tu es forte tu n’as pas leurs faiblesses

Je m’agenouillai devant Verna et tendis les bras vers elle, je baissai la tête

-          Je suis comme les autres femmes, admis je, j’ai les faiblesses de mon sexe, ajoutai je, en fait je suis peut être plus faible que les autres

-          Maintenant tu parle franchement, reconnut Verna

-          Je n’oublierai pas cette leçon, soufflai je

-          J’ai moi-même lutté contre cette faiblesse, confessa t elle

-          - Je ne lutterai pas, affirmai-je. Je m’y soumettrai

-          - Rask de Tréve, dit Verna, ne t’a pas donné le choix

-          C’est vrai, répondis je

C’était vrai. Rask de Tréve, mon Maître goréen, n’avait pas jugé bon de m’autoriser à choisir, sur le plan de ma capitulation sans conditions

Je baissai la tête

-          Tu as été conquise, souligna Verna

-          Oui, répondis je, j’ai été conquise

-          Je quitte le camp cette nuit, ajouta Verna

Elle montra une silhouette agenouillée, à quelques mètres de nous, penchée, nous tournant le dos. Elle avait aux chevilles, des anneaux qui l’empêchaient de se lever. Ses poignets étaient immobilisés dans le dos par des menottes. Au cou elle portait une petite chaîne qui servait de laisse. Les bandes de cuir du bâillon passaient sur sa chevelure noire et luisante

-          Emmène Talena, annonça Verna, Rask de Tréve me l’a donnée. Je l’emmène dans les forets du nord comme esclave

Verna tourna les talons puis se retourna vers moi

-Adieu esclave, dit elle, si je rencontre Rask de Tréve, ajouta t elle, je lui dirai qu’il y a une fille enchaînée qui, sous les lunes de Gor, désire ardemment ses caresses

Verna ne se retourna pas. Elle se penchât sur la fille agenouillée, lui retirât les anneaux qu’elle portait aux pieds et les mit dans son sac. Elle fit lever la fille aux mains attachées dans le dos et l’entraîna entre les tentes. Je vis les bandes du bâillon serrées sur sa chevelure tandis qu’elle s’éloignait.

Je restai à genoux, seule, enchaînée au sommet d’une colline couverte d’herbe, sous les lunes énormes et dominatrices.

Je me rendis compte qu’une silhouette se tenait prés de moi. Je criais et tendis les bras vers elle.

Rask de Tréve ne prit pas le peine de me libérer. Il me prit telle que j’étais, impatiente et gémissante, sous les lunes de Gor. Je fus soudain, irrésistiblement jetée sur le dos et , m’accrochant à lui, les yeux pleins de larmes de joie, me soumis à son plaisir"

 

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Mercredi 18 juin 3 18 /06 /Juin 10:46

Ma chérie

Je rêve de tes rêves ; je désire tes lointains ; à t’aimer plus loin que moi tu me fais grandir.

Je veux tout de toi pour te devoir tout de moi.

Oui, pour nous, l’absence a été la semence qui fît lever la pâte de notre amour. « L’absence est à l’amour ce que le feu est au vent, il éteint le petit et allume le grand » ; le nôtre se fortifie et les contingences de la vie ne sauront en avoir raison tant ensemble c’est tout.
Nous sommes différents mais néanmoins si complémentaires unis comme la pluie au soleil en son éphémère arc en ciel, comme l’ombre à la lumière en ses fascinants paradoxes.
Que les Dieux et les Déesses nous bénissent et nous jalousent

 Notre Amour sera ce qu’il veut; il mourra où il doit et s’il nous entraîne dans sa chute qu’importe ! Nous aurons vécu ; souffrance et amour souvent s’enlacent puisqu’ils font la paire.
Une paire plus forte que tous les brelans, une paire où un plus un égalera tout et où un moins un n’égalera plus rien

Nous pousserons là où on nous a semé avec ce que nous sommes, ce que nous ferons de ce que les autres ont fait de nous.
En paix avec nos blessures originelles, léchant mutuellement nos cicatrices, apaisant nos doutes au brasier de nos corps ; debout face au vent du destin, gourmand du festin de la vie qui nous consume pour mieux nous faire renaître de nos cendres.

en un mot, je t'aime 



 

Par niagara - Publié dans : lettres
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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 09:15
Les derniers commentaires de ce matin montrent une dérive évidente et problématique.
Nous n'écrivons pas ici pour faire débat ou susciter une quelquonque polémique, d'autant que nous n'avons pas vocation à plaire à tout le monde ni à porter un message évangélisateur
Si ce lieu d'expression devient une tribune pour une drague peu subtile ou la revendication d'une quelquonque idéologie contradictoire alors il va vite sortir de son cadre.
Nous nous donnons du mal pour nourrir ce lieu et les commentaires doivent  en conséquence aller vers du positif . Personnellement, à moins d'avoir du temps à perdre, je ne commente pas ce qui ne m'intéresse pas: je zappe.

Ceux qui ne sont pas orienté eux mêmes prètendent trop souvent orienter les autres


Nous nous interrogeons sur l'intéret de poursuivre si c'est pour se retrouver face à des détracteurs ou des voyeurs dragueurs frustrés.
Je pense que nous atteignons les limites de ce moyen d'expression qui est avant tout pour nous et en aucun cas pour répondre à des suggestions salaces, des remarques ironiques ou des polémiques sans intéret sur des points de doctrine fumeux.
...Toutefois nous ne cèderont pas aux parasites et aux prédateurs de tous poils, qu'ils aillent au diable, que les bras leur tombent et que le cul leur pêle...
Nous tirons les conséquences, prenons la leçon et  avançons sans nous désavouer



Par niagara - Publié dans : lettres - Communauté : le monde de GOR
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Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 18:50


Ceci est une fiction réaliste

Il colle son sexe tout contre son dos, la forcant à creuser les reins
Ce mouvement la tire de sa rêverie et elle sait ce que cela signifie pour elle .
Quelle heure peut  t' il  bien être ?
Peu importe , c’est le week  end et la journée doit  être entièrement consacrée aux plaisirs de son Maître.

Depuis des semaines, il l’a formatée à satisfaire ses exigences. Elle a eu un peu de difficultés au début à le vouvoyer et à se taire quand elle se sentait frustrée , mais peu à peu elle s’est abandonnée à son statut de kajira.

Répondant à la sollicitation du coup de queue.
Elle se retourne donc vers lui pour happer son sein droit , pose  une main sur son téton gauche  et commence son travail de kajira.

Il était maintenant satisfait de la manière dont elle s’occupait de ses tétons.

Une fois bien excité, il lui demande son cul et enfonce son membre au plus profond d’elle.
Son anus assoupli par une sodomie quotidienne c’était parfaitement sensibilisé et même prise vigoureusement, elle éprouvait beaucoup de plaisir .

Lorsqu’il estime que cela suffit, comme à l’accoutumée, elle descend nettoyer sa verge.
Il l’embrasse alors et l’autorise à se lever….
« Que désirez vous Maître pour votre petit déjeuner ?
« Un bon café et des céréales comme toi, ça ira très bien »
Elle prépare un plateau, l’amène au pied de son Maître.
Elle a aussi préparé son propre petit déjeuner mais elle attend l’autorisation, soit de manger près de lui,  soit dans son écuelle. S'il ne précise pas, elle sait que c’est à la cuisine qu’une esclave mange .

« Mets toi là , tes fesses vers moi et manges »

Une fois que tout est débarassé; elle  enjambe la baignoire et attend . Son Maître aime l’asperger de son urine après lui avoir fait boire une ou deux gorgées.
La toilette finie, rosebud glissé entre les fesses, elle s’active pour le rangement de la maison tout en restant à l’écoute des ordres de son Maître 

 « Viens me laver le dos kajira, ensuite tu me masseras les pieds »
« Bien Maître »

Il s’allonge et lui tend ses pieds qu’elle s’applique a masser généreusement. Sensuellement, elle remonte le long des cuisses et se risque à lécher entre ses fesses.
Il gémit, se retourne et d’un geste ferme tire la tête de sa kajira vers son sexe.

« Lèches moi, plus profond »
Il aime l’avoir à sa merci…
Pour la remercier, il l’autorise à se caresser  quelques minutes avec le tripode. Elle n’a pas le droit de jouir pour le moment. Elle est là pour le servir avant tout....

 Ensuite, il lui annonce qu’il  doit faire du courrier . En position « Nadu » , elle attend  à ses pieds ses ordres. Il a placé une pince sur chacun de ses seins pour son propre plaisir.

 « Je vais devoir sortir kajira, je vais t’attacher solidement, je veux que tu m’attendes sagement et que tu médites sur ta condition.
« Oui Maître »

Il remplace le rosebud par un plug , lui pose les bracelets  aux poignets et chevilles , enlève les pinces .

« Urine dans un verre et bois devant moi avant que je ne t’attache »

 Ensuite il l'attache jambes et bras écartés sur le lit.
Elle sait que l’attente peut être longue mais se résigne, espérant ne pas avoir de crampes.
Une heure plus tard elle entend des pas dans le couloir. Il est rentré.

 

« Ca c’est bien passé, tu as été sage, ta méditation a porté ses fruits ?
« Bon tu vas sur le blog et écris un article sur ce que tu as ressenti lors de mon absence , ensuite, tu nous feras a diner et si je ne suis pas content de toi, je te promets une punition »
Il la détache, elle est un peu affolée car les idées se sont bousculées dans sa tête lors de son absence mais ce n’était pas très clair »
Il lui ôte le plug et découvre que celui-ci ne ressort pas très propre

« Tu auras un lavement après, je n’ai pas envie  que tu me souilles »
"Oui Maître »

Elle se met donc a écrire son ressenti  en pensant au lavement et à la punition qui risque de tomber.
Elle est excitée et anxieuse, quel genre de punition son Maître lui a-t-il réservé ? une position contraignante, le martinet, une fessée…..

 
Un peu plus tard, elle lui présente son texte . malgrès tous ses efforts, il le trouve minable.
Humiliée, elle baisse les yeux, elle sait qu’elle n 'échappera  pas à la correction.
Mais d’abord, un lavement à la seringue s’impose.
Elle le regarde préparer le matériel,
Un peu plus tard, elle lui présente ses fesses et l’eau tiède coule dans ses entrailles.

« Va te coucher sur le lit pendant  dix minutes, ensuite quand tu auras evacué, tu seras punie »

 La sentence est prononcée, elle recoit vingt coup de martinet sur les fesses afin que dorénavant elle s’applique d’avantage dans son travail de kajira.

« Aïe, aïe
« Je vais te baillonner , je voudrais que tu te taises".
« Ouvre ta bouche!

Il lui pose le baillon-gode et lui demande de se remettre en position afin de terminer la correction.
Les larmes coulent sur ses joues, elle sanglotte.
Libérée du baillon, il la prend dans ses bras , la câline; elle lui promet de faire des efforts .

Il est temps de préparer le repas du midi
« Vas à la cuisine et apporte moi mon apéritif kajira ,".

"Va aussi me chercher ta laisse et ton collier, ce midi, tu manges aux pieds de ma chaise.
C’est appareillée qu’elle se dirige vers la cuisine, apporte le verre de son Maître et se remet immédiatement au travail.
Ensuite, elle amène le repas de son Maître et se tient debout derrière lui en attendant les ordres.
Ce n’est qu’arrivé à la moitié de son assiette qu’il lui permet de remplir son écuelle.

« Montres moi ce que tu as pris »
"C’est de trop, as-tu oublié ton régime »
« Commence, je t’arrèterais quand j’estimerai que tu as suffissamment mangé"
« Oui maître, vous avez raison »
« Cet après midi, nous irons en ballade, j’ai choisi ta robe, elle se trouve sur le lit »
« Je te veux maquillée et soignée »

Après avoir desservi son Maître, elle se rend dans la chambre. Il a choisi une petite robe rouge mettant en valeur sa poitrine.

« Je vais aussi cadenasser tes lèvres et poser ton rosebud »

Elle se penche en avant offrant la vue de sa vulve béante. Pris d’une envie soudaine, il la pénètre  et la besogne vigoureusement ; ensuite repus, il se retire , lui ferme la vulve, mets la clé du cadenas autour de son cou et lui ordonne de l’attendre dans la voiture .
Elle ne sait pas ou il l’emmène cet après midi. Elle a un peu froid avec sa petite robe rouge, mais se sent très désirable.

« Où allons nous Maître ? »
« A partir de maintenant, je veux le silence, mets ce bandeau sur tes yeux, tu n’as pas à savoir ce genre de choses; fais confiance à ton Maître »

 Après une petite heure de voiture, ils arrivent à destination.

« Attends moi , je reviens »

Elle commence à trembler, ne sachant pas où elle se trouve et la suite des évènements.
Elle entend son Maître qui revient à la voiture, lui passe son collier muni d’une laisse.

« Allez ma chienne, on y va,et il  tire tout à coup sur la laisse qui se tend. Obligée de suivre à quatre pattes .

 En entrant dans la pièce, elle sent une légère odeur de thé au jasmin.
Il la conduit dans un coin de la pièce et l’attache au mur.
Puis elle distingue nettement une voix de femme. Il lui a parlé rècemment d' une éventuelle rencontre avec une femme dominatrice. Peut être que c’est elle ?
Elle entend une conversation entre son Maître et l’hôtesse de la maison mais les mots sont inaudibles.
Tout à coup, elle sent que sa robe est soulevée et que ses deux fesses sont exposées au regard.

« très joli piercing »

Elle sent une main qui se ballade sur ses fesses et les pince un peu »

 On détache sa laisse du mur et son Maître lui ordonne de se lever pour se présenter.
Toujours aveuglée, elle sent la robe glisser sur ses hanches, La Maîtresse palpe son corps,  la fait tourner sur elle-même, soupèse ses seins, tire sur ses tétons et paraît très satisfaite.

Une main glisse entre ses cuisses et ressort bien humide.
Elle aime ça la kajira, se sentir offerte aux regards d’une inconnue.

«  Je peux m’en servir ? j’ai envie de jouir »
« Oui, bien sur,  nous sommes venus pour que tu l'essaies., tu verras, elle lèche très bien »

 Sa tête est saisie et plongée sur la fente de la dame . Il lui demande de s’appliquer
Elle lèche, suce et …. Tout a coup c’est un orgasme qui envahit l’inconnue.
Ensuite, la conversation reprend et elle entend que l’on prononce « une fois par semaine »
Son Maître prend ensuite  congé de l’inconnue .

 

« Tu es heureuse ? Ma douce kajira?"
"Oh oui Maître, j’aime servir pour vous

 

Arrivés à la maison, c’est l’heure de préparer le repas pour son Maître.
Mais avant , il la conduit dans la chambre, lui demande de s’agenouiller , il lui donne deux ou trois claques sur les cuisses, puis la bascule sur le dos. Il a très envie de la serrer dans ses bras et de la posséder., il a envie de la voir jouir.
Elle gémit déjà sous son étreinte,l’eau ruisselle entre ses jambes, son souffle s’accélère, un dernier regard vers son Maître et secouée par ses coups de verge, elle explose instantanément…..

 

Après le repas servi a table pour tous les deux, il lui explique que la Maîtresse étant très satisfaite , elle devrait aller lui donner du plaisir une fois par semaine.

Il a passé une très belle journée, il est fier de sa kajira
Ensuite l’embrassant , il lui annonce que cette nuit ci, elle dormira à sa place.


Elle dormira aux pieds de son Maître…….

 

 

  

 

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 16:08
...pas plus que le titre de maître ne confère des compétences; tout au plus des prérogatives liées à des responsabilités

Ainsi ce n'est pas parce que l'on vous appelera Maître que vous rendrez vos kajirae heureuses mais c'est parce que vous les rendrez heureuses que vous serez appelé Maître

" -Maître ? fit elle
- Oui, répondis je
Un petit cri de joie lui échappa
Elle n'osa pas me poser de questions, mais elle s'agenouilla, docile, comme il était normal dans sa situation, et inclina la tête
Avant que sa tête se soit abaissée, j'avais vu dans ses prunelles l'espèrance
silencieuse de l'esclave sans droits,sans défense,que son maître, son propriètaire, celui qui tient la chaîne, aurait le bon plaisir de se montrer indulgent
-Merci Maître , dit elle avec humilité
des larmes lui perlaient au bord des cils
Sur Gor, la possession totale de diverses femmes ne m'avait pas embarassé autant qu'il eut fallut, mais je n'avais jamais beaucoup aimé que l'on m'appelle "Maître"
Il me suffisait de l'être
les femmes qui m'avaient appartenu, Sana, Talena, Lara et d'autres, Esclaves de Passion louées à l'heure dans les tavernes de Ko ro ba , Esclaves de Plaisir que l'on
m'offrait en gage d'hospitalité pour une nuit à passer sour le toit d'un ami,toutes avaient bien su que j'étais le maître , et c'était suffisant.
D'autre part, je n'avais jamais trop objecté à ce titre parce qu'il m'était apparu que le terme "Maître" peut donner un plaisir indescriptible à une esclave  quand il monte aux lèvres et quand elle sait qu'il exprime la vérité"

                extrait des" prêtres Rois de Gor"


Quel intéret peut avoir un Dress Code ?
Il suffit que le maître soit habillé comme il lui convient et la kajira comme il
convient à son Maître non  ?

Aussi méfiez vous des apparences qui bien souvent ne servent qu'à dissimuler des appats rances
Par niagara - Publié dans : lettres - Communauté : le monde de GOR
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