Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 17:20

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J'amerais vivre une journée de chienne Maître. Je fantasme souvent à ce sujet.

 

 

Dès le reveil, je suis une petite chienne, la vôtre, je me comporte donc comme un animal avec tout ce que cela comporte.

Je me réveille et vous lècherai la main pour vous faire ouvrir les paupières.

je reste bien entendue nue,toute la journée

Vous me passez le collier et la laisse et l'on sort dans le jardin pour que je puisse y faire mes besoins Je m'accroupis dans l'herbe et l'urine coule entre mes cuisses. ensuite rentrés a la maison, vous me donnez l'ordre de me coucher sur mon tapis pendant que vous prenez votre douche.

Puis, je vous regarde prendre votre petit déjeuner, croissants et café, mmmmmmmmmm j'en meurs d'envie aussi mais pour moi, c'est une gamelle remplie de pain trempé dans du lait et de l'eau fraiche a profusion dans la seconde gamelle. womenslavepets119.jpg

Après le petit dejeuner, vous devez vous absenter. je reste seule a la maison . Pour éviter que je ne fasses des dégats et pipi partout, vous avez prévu un endroit clos , une sorte de cage ou de niche fermée ou je dois vous attendre sagement. Vous me quittez avec seulement une petite caresse sur la tête, que c'est dur d'être une chienne!

Les heures me semblent longues, j'en profite pour me reposer;

ah  j'entend la clé dans la serrure, je suis tellement contente que vous êtes là, j'ai envie de parler, mais une chienne ne parle pas, et je viens me frotter contre vos jambes pour vous montrer combien vous m'avez manqué.

Il est midi, c'est l'heure du casse croute, mais avant , sortie pipi, je me degourdis les pattes et vous me jettez plusieurs fois la petite balle que je dois vous ramener, un peu d'excercice pour la chienne.

vous mangez un énorme sandwich, et me jettez quelques morceaux de pain. Je ne mange que deux repas par jour.

j'ai soif et je vais laper l'eau de ma gamelle.

J'ai très envie de vous parler et de vous dire ce que je ressens, j'essaie de vous dire un ou deux mots mais la badine claque sur ma croupe pour me faire cmprendre que je peux juste aboyer.

L'apès midi vous avez décide d'inviter une amie commune . Je suis très génée quand elle arrive dans la pièce ou j'attends sagement sur mon tapis avec mon jouet. Elle vient me caresser la tête et me complimente sur ma docilité.

Je suis rouge de honte , mais je lis la fierté au fond de vos yeux et cela m'encourage; Je vous entends parler et rire, je suis jalouse évidemment de ne pouvoir participer à la conversation.

Vous m'ignorez completement , c'est très éprouvant .

Je commence a avoir faim et j'essaie de vous le faire comprendre mais une chienne mange à heures regulières et malgres votre pitiè, vous ne craquez pas .

Finalement , je suis contente que la dame s'en aille , enfin vous allez vous occuper de moi.

Une sortie pipi au jardin, l'air est frais le soir, on rentre vite et vous preparez le repas. Curieuse, je viens poser ma truffe sur le bord de la table de la cuisine, mmmmmmmm ca s'ent bon.

pendant le repas, vous me faites passer sous la table et je dois lecher vos pieds . je m'applique car j'aimerais une bonne gamelle, j'ai faim. hottoon10.jpg

 

La gamelle est pleine de purée melangée à du steak hache. Je mange goulument et ensuite , je dois me coucher à nouveau sur mo tapis.

Vous allumez la télé et sirotez un petit rhum. . Je vous regarde et parfois nos regards se croisent, vous me caressez la tete et m'annoncez l'heure du bain.

a 4 pattes dans la baignoire, vous me frottez energiquement partout , y compris les cheveux,

Vous me frictionnez avec une serviette seche et me brossez lez cheveux;

ensuite vous m'annoncez que si je dois pisser la nuit , c'est sur le journal et je m'allonge à terre au bout de votre lit. Je suis attachée au montant par la laisse . J'ai un peu de mal a m'endormir mais je suis heureuse d'avoir ete chienne jusqu'au bout.....

 

 

 

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Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 18:50
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Par niagara
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Lundi 17 mars 1 17 /03 /Mars 17:08
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"La chasteté peut être définie par un ensemble de pratiques qui incluent, sans s'y limiter, la continence.
Ainsi, on parle de chasteté même dans le mariage : fidelité à l'autre, principe même du mariage mais aussi par moment, périodes d'abstinence sexuelle considérées comme des moyens de nourrir un amour non exclusivement physique.
Pour une personne mariée, la chasteté implique la fidélité et renforce une attention à l'autre à travers des gestes adaptés, une écoute plus forte de l'autre et une attention à ce que la seule recherche de plaisir physique n'occulte pas la tendresse, le dialogue et l'écoute mutuelle."
(wikipedia)




Etre esclave, c'est aussi à mes yeux  être "chaste"

La chasteté, ce n'est pas s'abstenir, mais elle  consiste en une sexualité ordonnée, maitrisée et qui recherche d'abord le plaisir de l'autre. , ce qui à mon sens va de pair avec  la servitude et avec le statut d'esclave.

Etre une bonne esclave, c'est accepter de renoncer à son plaisir en priorité, c'est se dévouer à son maître  jusque dans son intimité.
c'est donner  avant de recevoir.
le Maître décide et organise la sexualité de son esclave

Ainsi dans notre relation , Mon Maître m'a appris à mieux maitriser ma jouissance.
certains jours, il ne me donne pas l'autorisation de me caresser, ce qui augmente mon désir  de lui faire plaisir, de me comporter en meilleure hottoon00.jpg esclave.
Quand il est absent, il me demande parfois de rester plusieurs jours sans me toucher.
Il peut aussi comme il vient de le faire quand il part pour plusieurs semaines me donner des consignes .
et me dire queje me caresserais avec un objet intermediaire , sans toucher mes lèvres de mes doigts, avec mes pinces sur les tetons et je dois en plus glisser une balle souple entre mes dents qui maintient ma bouche ouverte.
Il est évident que ce rituel d'une part , m'excite beaucoup et me rapelle à tout moment qui je suis .




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Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 18:38
Origine du marquage

Le marquage au fer est initialement lié à l'élevage pour indiquer le propriétaire d'une bête. On le retrouve également dans l'esclavage, la torture ou l'emprisonnement
L'esclavage utilisa abondamment le marquage au fer rouge. La marque était utilisée pour désigner le propriétaire de l'esclave. L'esclave pouvait avoir autant de marques que de propriétaires consécutifs.
Cette pratique concistait à abaisser l'être humain au rang de bétail. Il devenait ainsi un objet pouvant être acheté, vendu et utilisé à toutes fins (travaux pénibles, serviteur de maison, ou même comme jouet).
Le code noir
français de 1665 instaurait le marquage au fer, d'une fleur de lys
l, comme châtiment envers les esclaves noirs fugitifs.

Des marques au fer étaient également employées comme punition pour les criminels condamnés, combinant la punition physique, les brulures étant très douloureuses, avec l'humiliation publique (d'autant plus grande si la marque est sur une partie visible du corps) qui est ici l'intention première. Cette marque était une sorte de casier judiciaire indélébile.
La forme du marquage était souvent choisie
comme code pour le crime.
Par exemple dans les prisons militaires canadiennes D pour la désertion
, BC (Bad Character) pour le mauvais caractère, la plupart des hommes marqués étaient envoyés dans des colonies éloignées.
En 1810
le code pénal français prévoyait le marquage sur l'épaule droite du condamné d'un signe distinctif de sa faute : T pour les travaux forcés, TP pour les travaux à perpétuité et F pour les faussaires, avec ou sans délai, à un statut de prisonnier esclave, comme sur les galères
(marqués GAL en France), dans une colonie pénale, ou vendu aux enchères à un propriétaire privé.
(wikipedia)

 

De 1920 à nos jours.

Une résurgence du marquage est survenue dans les années 20 et 30, pour les adeptes d’une même communauté. Il était d’usage de montrer son appartenance et son allégeance en y ayant recours.
Le marquage était, faut il le rappeler, utilisé principalement aux Etats-Unis pour marquer le bétail et ainsi authentifier son propriétaire par ses initiales.

Encore aujourd'hui, des Universitaires, membres d'une fraternité, se marquent avec du métal chauffé à blanc pour sceller leur appartenance au groupe. Il semble de plus que plus c'est douloureux, plus c'est valorisant pour la personne qui le fait. C’est encore plus initiatique. 

Place du branding dans le cadre d'une relation D/s


Aussi, le branding ne pouvait il trouver qu’une place de choix dans l’univers BDSM, et connaît aussi un regain de popularité parmi les adeptes du piercing qui cherchent quelque chose de plus « fort » et de moins usité que le piercing qui se banalise.

 

 

L'acceptation du marquage par la soumise est le signe de son don total, mais il est aussi une acceptation par le dominant de "reconnaissance" et de sa propre dévotion ou attachement à celle-ci. La Marque ne peut-être que le fruit d'une réflexion longue et d'une relation de longue durée. Les Maîtres n'acceptent que peu les soumises deja marquées et l'on conçoit mal des soumises "poly-pyro-ferrées" comme ces colis multi-timbrés... 

L'acte par lui meme s'il est realisé dans des conditions maîtrisées est plus spectaculaire que l'on peut le croire. Le fer ne devant en effet que peu resté en contact avec la peau (3 à 5 secondes) et ne pas pénétrer en profondeur (risque de brûlures graves). Une préparation cérébrale et la motivation de la personne marquée complémentant le processus. Le fer doit être de bonne qualité pour ne pas se déformer en rougissant et son épaisseur ne doit pas être trop importante pour permettre une évacution thermique de la chaleur. Un traitement par une pommade sur la zone de marquage doit être appliqué pour soulager la personne soumise et une surveillance de la "plaie" doit être réalisée pendant la cicatrisation qui dure en moyenne près d'un mois.

Le marquage au fer rouge n'est pas à mettre entre toutes les mains. Comme tous les jeux BDSM, il nécessite des connaissances et des précautions. Ainsi, le tatouage, plus simple à "vivre" semble être devenu une solution alternative. Néanmoins, tout comme pour la fessée et d'autres jeux BDSM, le marquage peut être (doit être ...) le cadre d'un cérémonial et d'une complicité qui renforcera l'harmonie du couple D/s.

 

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Mercredi 5 mars 3 05 /03 /Mars 12:06
Dans notre culture occidentale, la force brute cherche à s'imposer à vfd.jpg court terme et à travers une relation frontale. Mais je me rappelle avoir lu quelque part qu'éduquer une soumise revenait à guider en laisse un éléphant dans un magasin de porcelaine. C'est en effet plus un art qu'une quelconque technicité ; art dans lequel souplesse et adaptabilité font plus que force et rage. Il faut investir le temps comme un allié et compter avec les résistances de la soumise; En Chine il est, à ce propos, dit que l'homme a l'apparence de la force et de la supériorité sur la femme mais que celle-ci le domine en définitive par une docilité extérieure qui masque une volonté intérieure et à long terme. Dans un rapport dialectique à l'autre, il faut se garder mlo.jpg   de jouer force contre force, Yang contre Yang. Mieux vaut privilégier l'alchimie transformatrice de la complémentarité qui fait circuler l'énergie d'un pôle à un autre. La référence n'est pas l'opposition et la confrontation mais le jeu rythmique des flux qui rappellent le cycle des saisons s'enchaînant les unes aux autres. La logique des vases communiquants requiert une attention constante avec un positionnement dynamique qui épouse le mouvement de la soumise. C'est en se conformant plus qu'en s'opposant, au mouvement agressif de l'autre (résistances et intrusion des contrariétés journalières), qu'on peut orienter et transformer la soumise selon la logique éternelle du Yin et du Yang. vbny.jpg

Qui domine les autres est fort
Qui se domine est puissant

De plus n'oublions pas que tout est dans le lien  et que les hommes viennent de mars et les femmes de vénus. Ainsi si les hommes souvent doivent passer par l'engagement pour avoir le sexe; les femmes passent toujours par le sexe pour avoir l'engagement.
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"Si vous chatiez vos hommes avant qu'ils ne soient attachés à vous, ils ne seront pas dociles.  S'ils ne sont pas dociles, ils ne vous serviront à rien. De même, si les hommes vous sont attachés mais que les sanctions ne sont pas appliquées, ils ne vous  serviront à rien"    
                                                           L'art de la guerre de SUN TZU
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" Si vous n'êtes pas prêt à accepter les conséquences de vos actions ou à faire les efforts nécessaires pour utiliser votre autorité avec justesse, ne vous mettez pas en situation de pouvoir. Un bon dirigeant doit être au service d'autrui. Si vous mettre au service d'autrui vous paraît trop humiliant, vous n'êtes pas assez fort pour assumer le pouvoir"   
                                                                                                                                                                             Pat CALIFIA
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 19:59
Je ne sais pas si au fond de moi je progresse réellement, enfin si progr-s.jpg surement, j'ai  toujours l'esprit rebelle  mais je me force à le combattre.
Ne croyez pas que ce soit la peur des punitions qui font de moi l'esclave
que je deviens, je dirais que c'est l'Amour que j'éprouve pour mon Maître.
Je fais par exemple d'énormes progrés...en  conduite  automobile, et ce n'est pas une plaisanterie car quand on se suit en voiture, je reste derrière lui sagement alors que je  pourrais appuyer sur la pédale en  un instant. Je suis devenue trés docile, enfin plus qu'avant...
Dans notre  intimité, j'accepte beaucoup mieux de servir mon Maître et de m'endormir sans être caressée et sans jouir (disons que je tiens un
progres1.jpg jour ou deux avant d'avoir à réclamer). Comme je prends  par ailleurs de plus en plus de plaisir à le caresser et à lui sucer les tétons, ce simple fait me comble d'une certaine façon et m'éxonère de jouissance; de même que quand je suis réveillée en pleine nuit, j'aime cet instant où il  pénètre mon sommeil par derrière.
Je suis aussi beaucoup  plus calme depuis que Jim  prend en charge mon éducation. J'éprouve  toutefois encore beaucoup trop de difficultés à
hottoon031.jpg accepter les remarques sans pouvoir me justifier. En effet, pour peu qu'elles me paraissent injustes, je ne peux les accepter sans rechigner.  Mon besoin de justice doit surement remonter à loin en arrière et c'est bien  tout le sel de notre relation que de pouvoir travailler cela pour enfin m'abandonner à l'Autre. Je réalise que j'accepte aujourd'hui enfin d'être aimée, me sentir aimée et protégée  ;et ce n'est pas  là le moindre de mes progrés
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 19:27
Connaissez vous l'énigme des femmes fontaine ? Parce qu'il s'agit bien d'une énigme. En effet, ce phénomène qui concerne plusieurs centaines de milliers de femmes françaises reste inexpliqué vraiment sur le plan fontaine.jpg physiologique. On pourrait parler d'éjculatrices féminines car ce sont bien des éjaculations à répétition avec plus ou moins de volume liquide expulsé (hé oui les femmes aussi ont une prostate). Pas de l'urine mais un liquide lymphatique plus neutre, plus ou moins important et clair selon les circonstances.
Quand cela arrive, c'est soudain , toujours lié à  une émotion, une
fontaine1.jpg excitation et une pénétration vaginale et maintenant de plus en plus anale chez Niagara. Je sais comment faire sortir le "jus" de ma Chérie; la rendre impuissante , offerte , la faire couler de plaisir, aussi longtemps et autant de fois que désiré. Elle est la première partenaire à avoir cette particularité, entre autres, et c'est sublime de la sentir se vider sous soi, de la voir s'abandonner, se liquéfier réellement. Bien évidemment fontaine3.jpg cela demande un minimum de préparation afin d'anticiper et protéger la literie qui, elle  pour le coup, souffre vraiment.
Le D/s accentue ce  phénomène et l'harmonie entre nous le décuple. Je souhaite à tous de trouver une fontaine comme la mienne afin de pouvoir s'abreuver à sa source.
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Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 15:01
Jésus et Saint Pierre s'étaient loués dans une ferme comme journaliers.
Au matin, le fermier se leva tôt pour voir  si ses nouvelles recrues étaient déjà aux champs. il les chercha partout, sans succès. finalement il passa un oeil dans leur chambre et les trouva vautrés sur leur paillasse. Jésus dormait du coté du mur, et c'est St Pierre, couché au bord du lit qui reçut toute la bastonnade equ.JPG
Jésus se leva, comme si de rien n'était, s'étira et baîlla. Saint Pierre, couvert de bleus, déplia péniblement  ses membres et, sans rien dire, suivit son Seigneur  au champ.
Le soir venu, pourtant, il dit à Jésus qu'il préférerait dormir du coté du mur: "la muraille est terriblement humide et malsaine, Seigneur, il est juste que j'en pâtisse aussi"
Le lendemain matin, pas plus que la veille, ils ne se réveillèrent, alors que les autres ouvriers travaillaient déjà depuis l'aube. Le  maître saisit son bâton rageusement et courut à leur chambre. La vue des deux hommes affalés, dormant du sommeil du juste, décupla sa colère. Il leva son gourdin, mais s'avisa soudain que la veille il avait battu celui qui était au bord. alors il décida de s'en prendre à celui qui était du coté de la muraille. Saint Pierre reçut à nouveau la bastonnade. Il se leva, meurtri et cabossé, et garda encore le silence.... knight.jpg
Mais le soir, au moment de se coucher, il lâcha avec humeur: "Dormez où vous voulez, Seigneur. De toute façon, c'est moi qui prendai les coups.
-Pas  si tu sais garder ta place" répondit Jésus


Conte  issus de "Contes des sages chrétiens" au éditions du Seuil....magnifique ...un précieux compagnon...
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 13:08

- Qu'est ce qu'un Maître Camisk.GIF ?
Une personne qui possède une esclave c'est à dire une personne qui à la responsabilité de tenir la laisse d'une soumise

- Ainsi un Maître sans soumise ne posséde plus personne et sans possession il ne peut plus être Maître ?
Exact comme le moulin qui n'a plus de blé à moudre et de vent pour tourner n'est plus rien

- Où un Maître doit il mener sa soumise ?
Il la guidera vers son identité profonde, vers où elle habitait avant de devenir ce qu'elle est

- Mais alors qui guide l'autre ? le maître ou la soumise ?
Disons que le Maître ne peut éduquer réellement la soumise; il ne peut que l'aider à se découvrir elle même. Il utilise l'énergie mise en action par la soumise à son insu pour lui permettre de progresser

- Comment apprend on à devenir Maître ? Chatka.GIF
En apprenant à dépendre de sa soumise

- Comment trouve t on une soumise ?
Le destin ne fait toujours que la moitié du chemin; pour le reste il faut la chercher opiniatrement sans renoncer et céder à la vanille

- Oui mais comment faire ?
Notre Etre attire les circonstances de notre vie alors si vous êtes Maître vous attirerez la soumission autour

- Comment sait on que cette soumise est faite pour vous ?
Quand vous serez soumis à elle et qu'elle sera maître de vous

Comment sait on que l'on est un Maître ou une esclave ?


Un jour, Djeha-Hodja Nasreddin décida de voyager pour parfaire son Ta-teera.GIF savoir. Quand un jeune homme lui demanda quels gens il allait chercher à rencontrer, il dit, se rappelant quelques sages paroles entendues au marché :
- Celui qui ne sait pas et ne sait pas qu'il ne sait pas, il est stupide. Il faut l'éviter.
- Celui qui ne sait pas et sait qu'il ne sait pas, c'est un enfant. Il faut lui apprendre.
- Celui qui sait et ne sait pas qu'il sait, il est endormi. Il faut le réveiller.
- Celui qui sait et sait qu'il sait, c'est un sage. Il faut le suivre.
Djeha-Hodja Nasreddin marqua une pause puis continua :
- Mais, vous savez combien il est difficile, mon fils, d'être certain que celui qui sait et sait qu'il sait, sait vraiment.
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 11:10
En préambule : 
les extraits de l'article d'Alessandro  STELLA  trouvé sur le web  mis ci aprés tendent à démonter que si  notre vision de "l'esclavage"  décrite sur notre blog  est dans un cadre profondement consensuel, éclairé, amoureux , respectueux et ludique; il n'en a pas toujours été ainsi . En effet la notion d'esclavagisme même strictement sexuel nous ramène à une histoire récente et douloureuse  à manier avec précaution, d'autant plus qu'elle peut nous fasciner par ailleurs.C'est dans l'ambiguité de nos désirs, dans la compromission de nos valeurs avec nos pulsions que nous trouverons notre preuve d'humanité; pour peu que nous fassions triompher in fine notre Amour du prochain. Même si pour exprimer cet Amour il nous faut de manière symbolique ou réelle enchaîner  ce même prochain pour mieux le libérer. Mais le libérer de qui ? de quoi ? à vous de trouver votre propre réponse.
N'est ce pas seulement en faisant face à ses contradictions que l'homme peut apprendre quelque chose sur la nature humaine ?

"Des esclaves pour la liberté sexuelle de leurs maîtres
(Europe occidentale, XIVe-XVIIIe siècles)

                                                                                    Alessandro STELLA

Des esclaves, pour quoi faire ? Pour faire de l’argent, sans doute, en pratiquant le commerce d’hommes comme n’importe quelle autre marchandise. Il est une autre motivation qui a poussé à acheter des esclaves : une motivation sexuelle. Le regard se porte alors immédiatement vers les harems de Sultans, Califes et autres Princes musulmans, peuplés de jeunes filles légèrement vêtues et gardées par un eunuque. Il ne fait aucun doute que l’Islam, sanctionnant par la loi et la polygamie et le harem1.jpg concubinage, n’a rendu que plus facile la perpétuation du droit conféré à l’homme, par l’homme, de disposer de plusieurs femmes pour sa jouissance sexuelle. Entre le droit et la pratique, s’inscrivait cependant dans les pays musulmans le clivage de l’argent : tout comme la possession de plusieurs épouses libres, celle de concubines esclaves variait selon la richesse. Il en allait de même de la qualité attribuée aux concubines selon leur origine géographique, reflet affiché d’un racisme bien ancré dans les mentalités. Aux XIXe-XXe siècles, de l’Egypte à la Turquie et à la Péninsule d’Arabie, les esclaves blanches étaient les plus chères sur le marché, et seuls les plus riches pouvaient se permettre les mythiques Circassiennes ; les moins fortunés devaient se contenter des Abyssines au teint foncé, tandis que les couches modestes de la société ne pouvaient se permettre que des esclaves noires.

Les récits des voyageurs et ambassadeurs occidentaux, ou les représentations figurées de souverains entourés de danseuses, chanteuses, musiciennes, bien qu’elles aient nourri l’imaginaire et les fantasmes des peuples monogames, ne sauraient gommer le rôle généralement attribué aux esclaves : en dehors d’une élite harem11.jpg restreinte de privilégiées, elles étaient servantes, dévolues à tous les services, y compris le service sexuel. L’âge moyen des esclaves à l’achat était de vingt ans, et les prix les plus hauts correspondaient à la tranche d’âge quinze-vingt ans. On voulait des esclaves jeunes parce qu’on espérait exploiter leurs services le plus longtemps possible ; un souci de bon investissement. Mais cette raison n’était peut-être pas la seule : s’y ajoutaient l’attraction sexuelle que ces jeunes corps exerçaient sur leurs propriétaires de sexe masculin, et la moindre résistance qu’une jeune fille pourrait opposer à ses exigences.

Et que dire encore de cette information sur le prix des esclaves ? Les esclaves de sexe féminin les plus chères étaient les blanches (Barbaresques, Morisques ou Turques), alors que les hommes blancs, considérés plus rebelles, étaient moins cotés que les noirs. La pulsion sexuelle des maîtres obéissait à des règles racistes. harem.jpg

Lubrique, consentante ou violée, en tout cas la femme esclave était à la disposition de son maître, comme le répète la formule de vente de Lucia, qui n’était qu’un formulaire standard : « qu’en tant que votre esclave elle vous serve et vous vous serviez d’elle, et vous pouvez la donner, vendre, troquer et échanger, et faire et disposer d’elle à votre volonté ». Le sous-entendu était tel qu’un notaire n’hésite pas à préciser, dans le contrat de location d’une esclave à Gênes, en 1420 : pour servir son maître non seulement « à table » mais aussi « au lit selon sa volonté » harem_gerome3.jpg

Dans les sociétés chrétiennes, les plaisirs de la chair ne pouvaient se poursuivre que dans la plus grande hypocrisie et dans l’inversion de la faute. Pendant que les honnêtes hommes étaient bien habillés, et que leurs femmes devaient se couvrir pour sortir en public, on éprouvait le plus grand plaisir à déshabiller les esclaves, et les esclaves femmes en particulier, au moment de leur mise en vente. Et on faisait avec les esclaves ce dont on rêvait secrètement : voir des corps nus. Avoir plusieurs femmes, mieux encore des jeunes filles à sa disposition, soumises ou lubriques : ce rêve mâle, castré par la mise en place de la sexualité chrétienne, trouva dans l’institution esclavagiste et dans le « service domestique » le terrain où s’épanouir."



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