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Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 19:08

La reproduction d’esclave est soigneusement contrôlée et les Hommes Libres ont rarement des enfants avec leurs esclaves. Dans la plupart des reproductions, une kajira et un kajirus sont mis dans une cellule de multiplication. Ils portent les deux un capuchon pour exclure tous les attachements possible et les esclaves peuvent même parfois ne pas parler. L'accouplement est observé par le Maître et tous les autres qui ont un poste officiel. Seulement une petite fraction de la reproduction est soigneusement faite par les Maisons d’Esclaves avec une intention spécifique à l'esprit. Quelques filles particulièrement racées ont un pedigree, la lignée qui se prolonge pour vingt-cinq à trente générations. Les esclaves les plus multipliés généralement sont des esclaves de passion et les exotiques. Les esclaves de passions sont des femmes qui ont été multipliées pour leur beauté et sensualité. Elles reçoivent en général seulement la formation comme Esclave de plaisir. Les exotiques sont des kajirae qui sont particulièrement multipliés pour une certaine qualité unique, égalisent parfois les bizarres. Tel type est une fille qui est multipliée pour avoir la salive toxique. Même quelques esclaves masculins sont de lignée exotique.

 

Le vin d’esclave (slave wine) est un contraceptif sur Gor, donné à tous les esclaves pour les protéger contre la conception. Il est i ntentionnellement fait pour être amer pour les esclaves. La substance active dans le vin d‘esclave est la racine de SIP. La racine de SIP, sous sa forme crue, peut être mâchée comme contraceptif. Les effets sous la forme crue durent pendant trois à quatre mois. Les Sauvages Rouges dans le Barrens emploient la racine de SIP sous sa forme crue. Une boisson de vin d’esclave dure indéfiniment, jusqu'à ce qu'un antidote soit donné. Ce n'était pas toujours le cas. Dans le commencement de la série de Gor, le vin d’esclave a seulement duré un mois. Mais, la technologie médicale a avancé pendant la série et ses effets sont maintenant indéfinis. Mais, hors de la tradition et pour rappeler à une fille qu‘elle est une esclave, elle lui est habituellement donnée une fois ou deux fois par an. L'antidote s'appelle le vin de multiplication ou deuxième vin. C'est une boisson douce et sucrée. Sa substance active est un dérivé de l'usine de teslik.

 

Presque chaque ville a sa propre Rue des Marquages, une rue ou une zone pour les ventes d’esclaves et les articles reliés à l'esclavage. La saison la plus prospère pour acheter les esclaves et le début de l'été. La plus grande période à vendre est les cinq jours de la Cinquième Main de Passage (Fifth Passage Hand ), également appelés dans beaucoup de villes le Régal d'Amour (Love Feast). Les esclaves peuvent être vendus aux enchères ou vendus dans des ventes privées. Les Slavers sont légalement une sous caste de la Caste Marchande bien qu'ils tendent à se considérer comme une caste séparée. Leurs couleurs de caste sont bleues et jaunes. Cependant, pas tous les Slavers appartiennent à la Caste. Les gens de presque n'importe quelle caste peuvent s'engager dans l'esclavage. La différence primaire est que ces personnes généralement n’obtiennent pas la principale partie de leur revenu des affaires de l'esclavage.

 

 

Aux ventes d’enchères d’esclaves, des filles sont vendues, montées sur des blocs où les acheteurs peuvent les inspecter, les toucher, les faire se déplacer et se placer. Les filles sont toujours vendues nues, bien qu'elles pourraient commencer une enchère vêtue. Pendant l'enchère, les vêtements seraient enlevés. Ceci est fait pour attirer la foule et pour faire monter l'excitation. On dit que seul un imbécile achète une kajira vêtue. Par la tradition, les blocs sont en bois et arrondis. La sciure est habituellement arrosée sur leurs dessus. Dans beaucoup de Maisons d’Esclaves, il y a habituellement les blocs multiples, un bloc central et un certain nombre de blocs de côté. Les blocs latéraux sont généralement environ trois pieds de haut et cinq pieds de diamètre. Mais, c'est une question du prestige à vendre un bloc central. Les filles sont rarement vendues aux enchères des blocs latéraux. Habituellement, des prix rigides sont fixés, marqué sur leurs corps avec un crayon gras.

 

Des étiquettes colorées peuvent être attachées aux colliers des filles aux enchères. Les étiquettes blanches signifient qu'une fille "est retenue" pour un acheteur éventuel. Une étiquette rouge signifie la fille "a été vendue." Une étiquette noire signifie une fille est "défectueuse." Une étiquette jaune signifie qu'une fille ne doit pas être vendue sans consultation avec le Slaver. Quelques étiquettes colorées peuvent également appartenir à des classes ou des catégories d’esclaves. Une étiquette brune peut être mis sur un esclave de bas niveau telle qu'une esclave de travail, la fille de pot, et la fille de bouilloire et de natte. Une étiquette d'or peut être mise sur une esclave de plaisir ou la danseuse. Il n'y a aucun codage uniforme de couleur cependant et les différentes maisons ont leurs propres conventions. Il n'est pas commun pour que les esclaves soient étiquetés sur un marché régulier excepté les étiquettes vendues et de propriété. L'étiquetage est le plus commun dans les enchères. Un disque de ventes, portant le numéro du sort de la fille, est commun ainsi les hommes peuvent inspecter les filles avant que l'enchère commence et décident sur qui ils feront une offre. Des filles vendues peuvent également être marquées en les plaçant dans un capot blanc marqué "vendu" ou par l'inscription "vendue" avec un crayon gras sur leur sein gauche. Il est courant d’utiliser le crayon gras sur le sein gauche.

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : BDSM
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Vendredi 2 janvier 5 02 /01 /Jan 19:02

Sur Gor, l'esclavage est un établissement antique et historiquement développé. Il est complexe, avec ses centaines d'aspects et facettes, légal, social et esthétique. L'esclavage a sa base dans les différences biologiques des hommes et des femmes. La dominance masculine est dominante parmi les mammifères et universel parmi les primates. Les Goréens acceptent l'esclavage naturellement pendant leur vie et ils peuvent remettre en cause sa validité de base.

 

La mythologie de Gor fournit même une histoire justifiant la création de l'esclavage. Il y a bien longtemps, il y avait par le passé une guerre entre les hommes et les femmes de Gor. En fin de compte, les femmes ont été défaites. Mais, les Prêtres-Rois n'ont pas voulu tué toutes les femmes ainsi ils les ont rendues belles. Ce qui devait attirer les hommes pour les garder sur place. Mais comme prix de leur beauté, les Prêtres-Rois ont également décrété que les femmes seraient pour toujours les esclaves des hommes.

 

Autrefois dans le passé, il y avait des séries de guerres lâchement appelées les Guerres d’Esclaves. Elles se sont produites entre diverses villes pendant une génération environ. Cependant les guerres se sont impliquées à asservir à grande échelle, il y avait d'autres causes aussi, comme le prélèvement des tributs et le contrôle des itinéraires commerciaux. Une grande partie de la loi marchande au sujet de l'esclavage a évolué hors de ces guerres. Les guerres ont également développé une partie de l'étalonnage de l’esclave comme produit.

 

Les romans de Gor dépeignent une image faussée de la quantité d'esclaves sur Gor. Car les esclaves ont souvent des caractères importants dans les romans, les livres à première vue pourraient vous faire croire que la plupart des femmes étaient des esclaves sur Gor. Dans la réalité, environ seulement 2 à 3% de toutes les femmes sur Gor sont des esclaves. Les Femmes Libres dépassent énormément les kajirae en nombre sur Gor. Ces rapports changent cependant de ville en ville. Par exemple, dans Ar il y a 20% des femmes qui sont esclaves environ. Dans Tharna, après la révolution contre la Tatrix, presque toutes les femmes dans cette ville étaient des esclaves. (en ligne, le nombre d'esclaves est plus de 50%.) De tous les esclaves sur Gor, 90% d'entre eux sont femelles. Ainsi, les esclaves masculins sont une denrée très rare, seulement de 2 au 3% des hommes sur Gor. Il y a beaucoup de termes utilisés pour les esclaves femelles tels que les soeurs de chaînes, la slut, la viande à collier. Kajira est l'une des façons les plus communes d’appeller une femelle esclave. SA-Fora, qui signifie la fille de chaînes ou la fille de la chaîne, est une autre expression commune. Pour la plupart, ces termes sont considérés élogieux.

Par niagara - Publié dans : textes
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 11:12
                     Une relation de couple évolue forcement puisque chacun d'entre nous est en perpétuel changement.
je peux dire sans crainte que j'ai vécu des experiences variées avec des individus divers.
Même si ma tête et mon corps était déjà tiraillés par des envies d'appartenance et de soumission depuis mon adolescence, c'est au fil des années que les relations de nature D/s voire goréennes se sont développées.
Trouver le partenaire idéal n'est pas chose simple et j'ai souvent trébuché mais je me suis toujours relevée ("Telle est la vie : tomber 7 fois et se relever 8");
je suis de nature optimiste et je sais retomber sur mes pattes.
J'ai enfin trouver le partenaire idéal; et vivre avec lui me le confirme.

                 Dans notre couple, il y a deux choses dont je suis convaincue qu'elles ne changeront pas, même avec les années
La première est l'Amour et le respect que nous nous portons mutuellement
La seconde est le fait que Jim est de caractère dominant et moi de nature soumise.
En dehors de ces deux items, tout peut être fluctuant. et notamment la facon de vivre cette relation D/s.

                  Il faut rester réaliste, aujourdhui, nous parlons de relation Maître/esclave, demain, nous parlerons de Gor peut être, ou de soumise........
Peut être et même certainement, un jour, si nous voulons continuer notre route ensemble, il faudra être capable d'accepter les changements.
Changements corporels, changements psychologiques, ......, un autre temps sera venu, nous serons vieux, peut être malades.

                Lorsque le temps sera venu, si nous voulons continuer "ensemble " sans cesser de nous respecter, il faudra s"adapter à ce que l'avenir nous réserve et nous ne seront peut être plus capables de vivre comme aujourd'hui..
Nous n'oublierons certainement pas ce que nous avons été ensemble "maître et esclave, soumise ou esclave de Gor (clin d'oeil à la mitho), peu importe l'appelation, ce qui compte, c'est ce qu'on met dans cette relation et en ce qui nous concerne, l'essence reste l'Amour aussi si mon statut d'esclave ne me donne pas le pouvoir de négocier, l'Amour lui me le permettra toujours (re clin d'oeil à la mitho)


niagara









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Lundi 6 octobre 1 06 /10 /Oct 18:40
De tous temps, la sexualité s'est vu mélangée au sacré, au développement de l'Homme; elle s'est vu ritualisée afin de pouvoir atteindre le Nirvana, le paradis perdu originel, non duel. Certes notre Occident judéo chrétien s'est empressé de mettre sous le boisseau les cultes rendues à la fertilité, à la mère, l'épouse, la soeur (spirituelle) en la personne de la Déesse. Culte des anciens égyptiens célébrant les mystères d'Isis, de la Féminité qui s'appuie sur la mythologie egyptienne qui a l'originalité de faire de la Terre l'élément mâle et du Ciel l'élément féminin. La célébration des mystères d'Isis plongeaient leurs racines dans le monde charnel des vivants. Ces rituels  rejouaient l'amour filial, la fertilité de la terre, sublimaient l'union du yin et du Yang, la dualité de l'existence, ombre et lumière. l'extase propre à l'expérience mystique était cherchée dans le jeûne, une pharmacopée adaptée mais aussi et surtout dans le coït et l'orgasme. La femme est la vraie gardienne du Temple, le sanctuaire de tous les mystères de la vie comme peut l'être la soumise qui ne sera toutefois que jachère tant qu'elle n'aura pas été labourée, modelèe, retournée par son maître qui ensemence sa libido et fait éclore son bouton de féminité. Le maître de ses charmes, le révélateur de ses ombres en négatif qui ne demandent qu'à couler, s'écouler pour étancher sa soif de vie, d'en-vie. Selon les celtes la femme n'a pas à être initiée car elle l'est naturellement; elle est le réceptacle lunaire seul capable de compléter l'homme solaire pour toucher à la complètude, à l'harmonie, au Divin. Coupe et Baton pour symboliser nos instincts enfouis, nos énergies primordiales; pentacles et épées pour jouer la dramaturgie de nos combats visant à nous affranchir de nos pulsions, à nous extraire de notre condition animale.

C'est en donnant du sens à la relation D/s que l'on crée les symboles propres à l'imaginaire du couple; les rituels sont le ferment du D/s qui permettra d'expérimenter
le Divin, l'Etre Essentiel. C'est en cultivant un caractère sacré à la relation D/s qu'on l'ancrera dans une relation amoureuse capable de fertiliser le réel, de triompher des tracas quotidiens en érotisant la vie de tous les jours et sublimant le plaisir physique. Ainsi le corps de la soumise devient le Temple offert à la clélébration des mystères de la vie. L'athanor où le Maître Alchimiste peut distiller, résilier, condenser, sublimer les mystères d'Isis
Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : BDSM
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Mercredi 1 octobre 3 01 /10 /Oct 16:06
Le texte ci-aprés extrait des "Nomades de Gor" exprime de manière métaphorique à la perfection le combat qui se mène dans toute soumise en lutte avec elle même; en proie à ses pulsions, son inconscient qui paradoxalement ne la libèrera que dans les chaines.

DEVIENS CE QUE TU ES

Le combat de toute une vie non ?


"-Arrêtez, je vous en prie implora t elle
-Pourquoi ?
-vous ête en train de faire de moi une esclave
-C'est sans doute ce que vous souhaitez , céder totalement comme une esclave
-Je ne veux pas être esclave
pourtant lorsque j'eu effleuré ses splendeurs les plus intimes, elle ne parvint plus à se dominer et se tordit sous moi, éprouvant les sentiments d'une esclave, car telle était bien en ce moment la belle Elisabeth Cardwell, mienne, sans défense, femelle et esclave.
Maintenant, ses lévres, ses bras, son corrps n'appartenaient plus qu'à une fille énamourée, et recherchaient mon propre être, reconnaissant sans réserve, sans honte et sans espoir, dans l'abandon parfait, que j'étais son Maître.
-J'ai peur
-Il ne faut pas
-Je me sens possédée
-Tu l'es
-Il faut me laisser, me lâcher! je vous en prie!
-On dit sur Gor qu'une femme qui porte un collier ne peut être que femme
Elle détourna la tête pour me cacher ses larmes
L'instant était venu; aussi, les yeux dans les yeux, lui dis je d'un ton sauvage et méprisant, selon les rites de soumission de Gor:
-Esclave!
Ses yeux trahirent  l'horreur et elle protesta:
-Non! se cabrant sous moi avec l'envie de lutter, à la fois impuissante et farouche, déchaînée, avec l'envie de me tuer si elle avait pu.
Je savais que nous en arriverions là et je la laissai se débattre, mordre, griffer, crier, puis je la fis taire sous le baiser du Maître et j'acceptai la reddition qu'elle ne pouvait éviter
-Une esclave, fit elle en pleurant, une esclave...je ne suis qu'une esclave !
Plus d'une ahn après, elle était encore dans mes bras, sur le tapis, et ses yeux étaient remplis de larmes
-Je sais maintenant ce que veux dire être l'esclave d'un Maître, dit elle
Je restai silencieux
-Et bien que je sois esclave, poursuivit elle, je me sens libre pour la première fois de ma vie
-Pour la première fois de ta vie tu es une femme
-J'aime être une femme, je suis heureuse d'être une femme, Tarl Cabot, heureuse!
Elle sourit en tripotant son collier
-Je suis la femme de Tarl Cabot
- Mon esclave rectifiai je
-Oui, ton esclave, avoua t elle
et puis comme je m'y attendais, elle s'agenouilla d'un coup, tête baissée, bras étendus, poignets croisés, se soumettant comme une femelle de gor
-Passez moi le collier
Selon les goréens, la femme ne peut respecter que l'homme qui a su la conduire à la défaite la plus absolue, qui ne lui a laissé d'autre choix que celui de capituler dans les bras de celui qui la tient prisonnière"


Par niagara - Publié dans : textes
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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 10:27
Vivre une relation D/s à temps plein semble utopiste; et ce à juste raison si nous projettons un archétype sur cette relation, si nous l'enfermons dans le carcan de nos projections. Il faut prendre les choses comme elles se présentent; souvent en restant ouvert à ce qui advient et en inventant  patiemment sa relation au jour le jour. Les personnes pratiquant  une relation Maître / Kajira ne peuvent à l'extérieur être distingués de Mr et Mme "tout le monde"; les contraintes de la vie sont les mêmes  pour tous et il faut bien y faire face d'une manière ou d'une autre.
Ce que l'on peut dire d'un couple qui réussit sa relation D/s, c'est qu'il a su développer une remarquable capacité à communiquer de manière subtile, une remarquable fluidité dans sa capacité à se mettre dans l'état d'esprit adéquat et à en sortir rapidement selon les circonstances. C'est le switch entre une relation en prise avec la vie réelle, professionnelle par exemple, et le passage à une hiérarchie Maître / Kajira dans laquelle le dominant exerce un contrôle absolu envers sa Kajira totalement dévouée à son plaisir. Cela est intuitif, c'est à dire qu'on le fait de manière juste sans être pour autant capable de dire pourquoi on le fait, formé de mille signes latents, de postures fines reliés à des rituels établis et rodés.
C'est je crois l'apprentissage de la lecture de ces signaux  en réponse aux besoins changeants et aux circonstances qui nourrit ou anémie la relation.
Cela doit s'inscrire dans la nature porfonde de la kajira qui à travers ces rôles trés définis se trouve dans un cocon protecteur. Savoir clairement qui doit prendre les décisions et qui porte la culotte sans ambiguité rassure chacun des deux cotés de la barrière.
Comment se comporter avec sa kajira ?
d'abord s'efforcer d'amèliorer sa qualité de vie, son hygiène de vie
ensuite lui demander d'assurer un service tel que la domesticité du Maître, du lieu de vie, un entretien minutieux de son corps
Enfin prendre des postures.
La maître doit exercer son pouvoir même durant son absence physique par tout rituel ou symbole de servitude qui lui parlera; comme par exemple
pour la kajira être cadenassée , se rendre aux toilettes à 10 h précise et se masturber 10 mn sans pouvoir jouir. Le Maître attends de sa kajira qu'elle soit capabe d'anticiper ses demandes, et qu'avant tout elle prenne plaisir à servir
Peut être que dans le fantasme de la kajira  seule la volonté du Maître importe, ses attentes étant sans intéret . Mais dans la réalité, la kajira dont les besoins élémentaires ne sont pas satisfaits finira par se rebeller et à contrario un Maître qui controle une esclave insatisfaite trouvera la relation navrante. L'adéquation entre le style du Maître et les attentes de l'esclave est donc essentielle, l'alchimie parfaite en somme. Or nous savons que, comme pour la recherche du Graal, le chemin importe plus que le but.
Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 11:06

Extrait des « esclaves de Gor »

 

Où l’esclave cherche toujours l’amour de son Maître et réciproquement car, même si sur Gor les esclaves sont contraintes, on s’aperçoit que finalement in fine l’amour triomphe. Dans un monde à priori coercitif et barbare se tiennent des pans d’humanité qui croissent et avancent. En définitive n’est ce pas cela la subversion qui va nous extraire de notre condition : sublimer nos chaînes (celles de nos pulsions) en y trouvant l’Amour ?

Trouver la puissance dans l’impuissance, le don dans la contrainte, l’abandon dans la possession, la liberté dans la dépossession, comme les mystiques qui trouve la béatitude de l’Eveil dans le dénuement et le renoncement à la tyrannie de leur volonté.


Si O tombe dans le BDSM par amour pour finalement perdre  son amant et se trouver elle même ; à contrario, dans Gor on assume (parfois de gré mais plus souvent de force) son statut d'esclave pour y rencontrer l'amour  du Maître. Amour qui va redonner à la Kajira une fierté qui la met en paix avec ce qu'elle est au fond d'elle. Ainsi elle ne se perd nullement mais se trouve dans son amour du Maître

Et le Maître dans cela ?  Il n’est que le vecteur bienheureux mais paradoxalement  soumis tant il est vrai que dialectiquement on est toujours esclave de ses esclaves

 

 

« Je baissais la tête

- Esclave, dit Verna

-Oui Maîtresse, fis je

- On raconte que tu n’es pas comme les autres femmes, que tu n’as pas leurs faiblesses

- Je suis comme je suis et je n’y puis rien, répondis je à Verna, baissant la tête avec déférence

Rask de Tréve sourit

-          Fais là enchaîner sous les lunes de Gor, avait dit Verna

Je la regardai avec fureur

Rask de Tréve avait ri

-Gardien enchaîne là, ordonna t il, sous les lunes de Gor

- viens esclave, dit le gardien

Je le suivis, Je regrettais qu’il me prit mes vêtements mais lorsqu’une esclave est enchaînée sous les lunes de Gor, elle doit être nue

Ce qu’il m’avait fait me rendait furieuse. Cruellement, impitoyablement, injustement, il m’   avait fait découvrir des univers de sensations absolument fantastique, dont je n’avais pas cru mon corps capable. Ses caresses, celle d’un Maître, avaient pris possession de mon corps, totalement, et j’avais été submergé par les sensations m’accrochant à lui, craignant de mourir de plaisir entre ses bras. Riez si vous voulez mais je ne pouvais que l’appeler Maître. N’ironisez pas ne vous moquez pas avant d’avoir vous-même un jour porté un collier ,avant d’avoir, vous-même, été l’esclave et connu les caresses d’un homme tel que Rask de Tréve.

Pourquoi ne venait il pas me chercher ?

Lui avais je déplu ? Je pouvais faire mieux

Je poussais un cri de désespoir

-          Fais moi chercher Rask de Tréve ! Gémis je, fais moi chercher ! (je roulai sur le ventre) je veux te servir, sanglotai je, mordant l’herbe »

Je regardai les lunes les yeux pleins de larmes

Sur la colline couverte d’herbe j’étais enchaînée seule

Je hurlai et me levai d’un bond, les bras tendus vers les lunes. Je restai immobile, impuissante sous elles. Enchaînée, nue, les bras tendus vers elles

Puis, je me mis à danser la folie de mon désir, tournoyant sous les lunes de Gor, essayant de les saisir, tournant sur moi-même, tapant des pieds, virevoltant, criant.

Puis lorsqu’il me fût impossible de danser, je m’abattis sur l’herbe, me tordant, l’arrachant, gémissant.

Et tandis que je hoquetais et pleurais, je m’aperçus, soudain, que cachée dans l’ombre, Verna, la panthère, me regardait

-          Il me semble que ton corps bouge comme celui d’une Kajira ; dit Verna

-          Je suis une Kajira, soufflai je Maîtresse

-          Tu n’es pas comme les autres femmes ; tu es forte tu n’as pas leurs faiblesses

Je m’agenouillai devant Verna et tendis les bras vers elle, je baissai la tête

-          Je suis comme les autres femmes, admis je, j’ai les faiblesses de mon sexe, ajoutai je, en fait je suis peut être plus faible que les autres

-          Maintenant tu parle franchement, reconnut Verna

-          Je n’oublierai pas cette leçon, soufflai je

-          J’ai moi-même lutté contre cette faiblesse, confessa t elle

-          - Je ne lutterai pas, affirmai-je. Je m’y soumettrai

-          - Rask de Tréve, dit Verna, ne t’a pas donné le choix

-          C’est vrai, répondis je

C’était vrai. Rask de Tréve, mon Maître goréen, n’avait pas jugé bon de m’autoriser à choisir, sur le plan de ma capitulation sans conditions

Je baissai la tête

-          Tu as été conquise, souligna Verna

-          Oui, répondis je, j’ai été conquise

-          Je quitte le camp cette nuit, ajouta Verna

Elle montra une silhouette agenouillée, à quelques mètres de nous, penchée, nous tournant le dos. Elle avait aux chevilles, des anneaux qui l’empêchaient de se lever. Ses poignets étaient immobilisés dans le dos par des menottes. Au cou elle portait une petite chaîne qui servait de laisse. Les bandes de cuir du bâillon passaient sur sa chevelure noire et luisante

-          Emmène Talena, annonça Verna, Rask de Tréve me l’a donnée. Je l’emmène dans les forets du nord comme esclave

Verna tourna les talons puis se retourna vers moi

-Adieu esclave, dit elle, si je rencontre Rask de Tréve, ajouta t elle, je lui dirai qu’il y a une fille enchaînée qui, sous les lunes de Gor, désire ardemment ses caresses

Verna ne se retourna pas. Elle se penchât sur la fille agenouillée, lui retirât les anneaux qu’elle portait aux pieds et les mit dans son sac. Elle fit lever la fille aux mains attachées dans le dos et l’entraîna entre les tentes. Je vis les bandes du bâillon serrées sur sa chevelure tandis qu’elle s’éloignait.

Je restai à genoux, seule, enchaînée au sommet d’une colline couverte d’herbe, sous les lunes énormes et dominatrices.

Je me rendis compte qu’une silhouette se tenait prés de moi. Je criais et tendis les bras vers elle.

Rask de Tréve ne prit pas le peine de me libérer. Il me prit telle que j’étais, impatiente et gémissante, sous les lunes de Gor. Je fus soudain, irrésistiblement jetée sur le dos et , m’accrochant à lui, les yeux pleins de larmes de joie, me soumis à son plaisir"

 

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 18:50


Ceci est une fiction réaliste

Il colle son sexe tout contre son dos, la forcant à creuser les reins
Ce mouvement la tire de sa rêverie et elle sait ce que cela signifie pour elle .
Quelle heure peut  t' il  bien être ?
Peu importe , c’est le week  end et la journée doit  être entièrement consacrée aux plaisirs de son Maître.

Depuis des semaines, il l’a formatée à satisfaire ses exigences. Elle a eu un peu de difficultés au début à le vouvoyer et à se taire quand elle se sentait frustrée , mais peu à peu elle s’est abandonnée à son statut de kajira.

Répondant à la sollicitation du coup de queue.
Elle se retourne donc vers lui pour happer son sein droit , pose  une main sur son téton gauche  et commence son travail de kajira.

Il était maintenant satisfait de la manière dont elle s’occupait de ses tétons.

Une fois bien excité, il lui demande son cul et enfonce son membre au plus profond d’elle.
Son anus assoupli par une sodomie quotidienne c’était parfaitement sensibilisé et même prise vigoureusement, elle éprouvait beaucoup de plaisir .

Lorsqu’il estime que cela suffit, comme à l’accoutumée, elle descend nettoyer sa verge.
Il l’embrasse alors et l’autorise à se lever….
« Que désirez vous Maître pour votre petit déjeuner ?
« Un bon café et des céréales comme toi, ça ira très bien »
Elle prépare un plateau, l’amène au pied de son Maître.
Elle a aussi préparé son propre petit déjeuner mais elle attend l’autorisation, soit de manger près de lui,  soit dans son écuelle. S'il ne précise pas, elle sait que c’est à la cuisine qu’une esclave mange .

« Mets toi là , tes fesses vers moi et manges »

Une fois que tout est débarassé; elle  enjambe la baignoire et attend . Son Maître aime l’asperger de son urine après lui avoir fait boire une ou deux gorgées.
La toilette finie, rosebud glissé entre les fesses, elle s’active pour le rangement de la maison tout en restant à l’écoute des ordres de son Maître 

 « Viens me laver le dos kajira, ensuite tu me masseras les pieds »
« Bien Maître »

Il s’allonge et lui tend ses pieds qu’elle s’applique a masser généreusement. Sensuellement, elle remonte le long des cuisses et se risque à lécher entre ses fesses.
Il gémit, se retourne et d’un geste ferme tire la tête de sa kajira vers son sexe.

« Lèches moi, plus profond »
Il aime l’avoir à sa merci…
Pour la remercier, il l’autorise à se caresser  quelques minutes avec le tripode. Elle n’a pas le droit de jouir pour le moment. Elle est là pour le servir avant tout....

 Ensuite, il lui annonce qu’il  doit faire du courrier . En position « Nadu » , elle attend  à ses pieds ses ordres. Il a placé une pince sur chacun de ses seins pour son propre plaisir.

 « Je vais devoir sortir kajira, je vais t’attacher solidement, je veux que tu m’attendes sagement et que tu médites sur ta condition.
« Oui Maître »

Il remplace le rosebud par un plug , lui pose les bracelets  aux poignets et chevilles , enlève les pinces .

« Urine dans un verre et bois devant moi avant que je ne t’attache »

 Ensuite il l'attache jambes et bras écartés sur le lit.
Elle sait que l’attente peut être longue mais se résigne, espérant ne pas avoir de crampes.
Une heure plus tard elle entend des pas dans le couloir. Il est rentré.

 

« Ca c’est bien passé, tu as été sage, ta méditation a porté ses fruits ?
« Bon tu vas sur le blog et écris un article sur ce que tu as ressenti lors de mon absence , ensuite, tu nous feras a diner et si je ne suis pas content de toi, je te promets une punition »
Il la détache, elle est un peu affolée car les idées se sont bousculées dans sa tête lors de son absence mais ce n’était pas très clair »
Il lui ôte le plug et découvre que celui-ci ne ressort pas très propre

« Tu auras un lavement après, je n’ai pas envie  que tu me souilles »
"Oui Maître »

Elle se met donc a écrire son ressenti  en pensant au lavement et à la punition qui risque de tomber.
Elle est excitée et anxieuse, quel genre de punition son Maître lui a-t-il réservé ? une position contraignante, le martinet, une fessée…..

 
Un peu plus tard, elle lui présente son texte . malgrès tous ses efforts, il le trouve minable.
Humiliée, elle baisse les yeux, elle sait qu’elle n 'échappera  pas à la correction.
Mais d’abord, un lavement à la seringue s’impose.
Elle le regarde préparer le matériel,
Un peu plus tard, elle lui présente ses fesses et l’eau tiède coule dans ses entrailles.

« Va te coucher sur le lit pendant  dix minutes, ensuite quand tu auras evacué, tu seras punie »

 La sentence est prononcée, elle recoit vingt coup de martinet sur les fesses afin que dorénavant elle s’applique d’avantage dans son travail de kajira.

« Aïe, aïe
« Je vais te baillonner , je voudrais que tu te taises".
« Ouvre ta bouche!

Il lui pose le baillon-gode et lui demande de se remettre en position afin de terminer la correction.
Les larmes coulent sur ses joues, elle sanglotte.
Libérée du baillon, il la prend dans ses bras , la câline; elle lui promet de faire des efforts .

Il est temps de préparer le repas du midi
« Vas à la cuisine et apporte moi mon apéritif kajira ,".

"Va aussi me chercher ta laisse et ton collier, ce midi, tu manges aux pieds de ma chaise.
C’est appareillée qu’elle se dirige vers la cuisine, apporte le verre de son Maître et se remet immédiatement au travail.
Ensuite, elle amène le repas de son Maître et se tient debout derrière lui en attendant les ordres.
Ce n’est qu’arrivé à la moitié de son assiette qu’il lui permet de remplir son écuelle.

« Montres moi ce que tu as pris »
"C’est de trop, as-tu oublié ton régime »
« Commence, je t’arrèterais quand j’estimerai que tu as suffissamment mangé"
« Oui maître, vous avez raison »
« Cet après midi, nous irons en ballade, j’ai choisi ta robe, elle se trouve sur le lit »
« Je te veux maquillée et soignée »

Après avoir desservi son Maître, elle se rend dans la chambre. Il a choisi une petite robe rouge mettant en valeur sa poitrine.

« Je vais aussi cadenasser tes lèvres et poser ton rosebud »

Elle se penche en avant offrant la vue de sa vulve béante. Pris d’une envie soudaine, il la pénètre  et la besogne vigoureusement ; ensuite repus, il se retire , lui ferme la vulve, mets la clé du cadenas autour de son cou et lui ordonne de l’attendre dans la voiture .
Elle ne sait pas ou il l’emmène cet après midi. Elle a un peu froid avec sa petite robe rouge, mais se sent très désirable.

« Où allons nous Maître ? »
« A partir de maintenant, je veux le silence, mets ce bandeau sur tes yeux, tu n’as pas à savoir ce genre de choses; fais confiance à ton Maître »

 Après une petite heure de voiture, ils arrivent à destination.

« Attends moi , je reviens »

Elle commence à trembler, ne sachant pas où elle se trouve et la suite des évènements.
Elle entend son Maître qui revient à la voiture, lui passe son collier muni d’une laisse.

« Allez ma chienne, on y va,et il  tire tout à coup sur la laisse qui se tend. Obligée de suivre à quatre pattes .

 En entrant dans la pièce, elle sent une légère odeur de thé au jasmin.
Il la conduit dans un coin de la pièce et l’attache au mur.
Puis elle distingue nettement une voix de femme. Il lui a parlé rècemment d' une éventuelle rencontre avec une femme dominatrice. Peut être que c’est elle ?
Elle entend une conversation entre son Maître et l’hôtesse de la maison mais les mots sont inaudibles.
Tout à coup, elle sent que sa robe est soulevée et que ses deux fesses sont exposées au regard.

« très joli piercing »

Elle sent une main qui se ballade sur ses fesses et les pince un peu »

 On détache sa laisse du mur et son Maître lui ordonne de se lever pour se présenter.
Toujours aveuglée, elle sent la robe glisser sur ses hanches, La Maîtresse palpe son corps,  la fait tourner sur elle-même, soupèse ses seins, tire sur ses tétons et paraît très satisfaite.

Une main glisse entre ses cuisses et ressort bien humide.
Elle aime ça la kajira, se sentir offerte aux regards d’une inconnue.

«  Je peux m’en servir ? j’ai envie de jouir »
« Oui, bien sur,  nous sommes venus pour que tu l'essaies., tu verras, elle lèche très bien »

 Sa tête est saisie et plongée sur la fente de la dame . Il lui demande de s’appliquer
Elle lèche, suce et …. Tout a coup c’est un orgasme qui envahit l’inconnue.
Ensuite, la conversation reprend et elle entend que l’on prononce « une fois par semaine »
Son Maître prend ensuite  congé de l’inconnue .

 

« Tu es heureuse ? Ma douce kajira?"
"Oh oui Maître, j’aime servir pour vous

 

Arrivés à la maison, c’est l’heure de préparer le repas pour son Maître.
Mais avant , il la conduit dans la chambre, lui demande de s’agenouiller , il lui donne deux ou trois claques sur les cuisses, puis la bascule sur le dos. Il a très envie de la serrer dans ses bras et de la posséder., il a envie de la voir jouir.
Elle gémit déjà sous son étreinte,l’eau ruisselle entre ses jambes, son souffle s’accélère, un dernier regard vers son Maître et secouée par ses coups de verge, elle explose instantanément…..

 

Après le repas servi a table pour tous les deux, il lui explique que la Maîtresse étant très satisfaite , elle devrait aller lui donner du plaisir une fois par semaine.

Il a passé une très belle journée, il est fier de sa kajira
Ensuite l’embrassant , il lui annonce que cette nuit ci, elle dormira à sa place.


Elle dormira aux pieds de son Maître…….

 

 

  

 

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 17:11

" Le littoral, c'est la frontière, la marge.
c'est là où, à la limite, on est en contact avec l'univers tout entier...Ce n'est plus le besoin de nourriture qui attire les gens vers la grêve, c'est le besoin plus profond, plus diffus d'ouverture.
on va sur le rivage pour respirer, pour s'ouvrir à l'immensité, pour sortir des codes et entrer dans le cosmique"
                                                                                   kenneth WHITE




"Descendre sur les grêves, c'est comme une cure que nous venons faire là, auprés des substances mères, une cure du regard, d'abord, l'oeil lavé, rincé, désintoxiqué des obstacles que lui oppose le monde moderne, l'oeil devenu ce qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être, un pur réceptacle de lumière"
                                                                              André le MILLINAIRE




" Est ce la mer qui a délimité la terre ou la terre qui a délimité la mer ?
Chacune a tiré un sens nouveau du choc des vagues
La mer s'est brisée sur la terre pour se définir pleinement"   
                                                                          Seamus HEANEY

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 18:40

 

Devenir une esclave, c’est accepter de faire " le don de soi "  à son Maître, c’est se plier à la discipline qu’exige le statut d’esclave, c'est-à-dire la « non liberté »

Assumer son statut d’esclave, c’est  plus  complexe et c’est une étape supplèmentaire dans cet apprentissage.

Qu’entend t on par assumer son statut ?

Assumer son statut, c’est  tout d’abord accepter  le changement;

Vous pouvez ressentir cette transformation, ce changement au plus profond de vous même.

Au début, certaines exigences de votre Maître vous sembleront difficiles à effectuer ou anormales par exemple, les restrictions de jouissance.

Evidemment, vous désirez être esclave mais vous ne l’êtes pas encore au fond de vous

Alors parfois vous doutez et vous reculez, vous hésitez.......

Avec le temps , des exercices, des rituels et parfois des punit ions si nécessaires, vous commencez a vous sentir à l’aise dans ce nouveau statut

votre esprit s’éduque à penser autrement (une sorte de lavage de cerveau que vous vous infligez à vous-même.) Vous acceptez cette autre qui renait en vous, cette nouvelle femme qui est dans le même corps certes, mais  qui ose affirmer son véritable caractère, sa docilité.

Vous obéissez, ressentez du plaisir et réclamez plus d'appartenance , toujours plus.. ..

Vous êtes fière  de votre nouveau statut, fière de ce que votre Maître a fait de vous.

Vous vous sentez épanouie et heureuse de ne plus être libre ? en fait vous ne vous êtes jamais sentie si libre ;

Accepter son statut d’esclave de plus en plus c’est aussi le revendiquer de façon respectueuse et discrète.

On ne vous demande pas de clamer à toute la population que vous êtes différente, mais assumer son statut, c’est pouvoir adapter son comportement en toutes circonstances  de manière à ce que les  personnes qui vivent ce genre de relation comprennent que  « LUI » il est le Maître et vous, vous êtes son esclave et en tout cas au minimum, avoir un comportement courtois, et respectueux envers votre Maître (gestes discrets, laisser parler votre Maître , etc....)

C’est être fière de porter les marques de votre Maître

.

Assumer son statut d’esclave, c’est accepter le contrôle d’une façon respectueuse, intelligente et humble, c’est avoir la force de caractère qui vous permet de donner à votre Maître le plein contrôle nécessaire à un rapport de pouvoir, c’est la capacité de vous livrer complètement à votre Maître

C’est rester à sa place d'esclave même quand la situation devient difficile pour vous., quand la situation vous fait peur, quand elle vous fait perdre le contrôle de vous meme.

C’est à ce moment là que vous ressentez si vous êtes vraiment une esclave ou plutôt non SON esclave 

.

Par niagara - Publié dans : textes - Communauté : le monde de GOR
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